FRANCAIS-1ere

Publié le 27 oct. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 30 oct. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour , est ce que quelqu'un pourrait m'aider :
C'est dans le poeme de Charles Baudelaire - Chant d'automne -- voici le lien du poeme : http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/charles_baudelaire/chant_d_automne.html


Pour la 1ere Strophe , est ce que quelqu’un pourrait m'aider car je dois expliquée en détail cette strophe ( personnellement, j'ai choisi la 1ere) , c'est à dire expliquée en détail : Vocabulaire , Syntaxe, style , versification , avec une analyse rédigée des idées exprimées .


Je ne saurai comment vous remercier.

Où j'en suis dans mon devoir




4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 oct. 2010
Oui mais en une strophe sa parait compliqué de montrer le champ lexical .
Voici ce que j'ai fait :

Le poème de Charles Baudelaire intitulé Chant d'automne et publié en 1857 dans le recueil du " Spleen et Idéal " (Les fleurs du Mal) , est composé de sept quatrain écrits en Alexandrins avec des rimes croisées ( A-B-A-B) .

On peut considérer la première strophe comme composée de trois phrases. Malgré le fait que Baudelaire énonce une vérité peu originale, les mots avec lesquels il s’exprime permettent de comprendre que sa vision des choses est celle d’un homme qui souffre. Le verbe "plonger", dans le premier vers, indique l’expression d’une chute . L’allusion aux "  ténèbres ", donne une image obscure de sa chute. L’ouverture du poème par l’adverbe de temps " bientôt ", l’emploi du verbe " plonger " à la première personne du pluriel, avec la valeur catégorique du futur, l’antéposition de l’épithète " froides " donnent à cette ouverture l’allure d’une prédiction sombre renforcée par la tonalité funèbre de l’allitération en [r] de ce vers.

Cet univers inquiétant semble être l'hiver, si l'on s'en tient au vers 2 qui vient en quelque sorte expliquer le vers 1. Il y est question en effet des été trop courts. Cette évocation de l'été vient se glisser sur le ton du regret, traduit en particulier par « adieu », par l'adverbe « trop » et par « déjà ». Ce regard que jette le poète sur l'été crée un effet de contraste : l'approche de l'hiver en paraît plus redoutable. Le contraste est d'autant plus visible par l'harmonie du vers, plus légère étant donné la rime intérieure (clarté/étés).

En effet ce deuxième vers, qui s’ouvre par l’interjection " Adieu ", marque le regret lié à la perte de l’été et fait antithèse avec les propos du premier vers. Ce regret est rendu presque tragique par son expression à la modalité exclamative. Le changement de personne, dans le troisième vers, marque l’implication du poète. Confidence d’une sensation sonore, " j’entends ", qui n'est pas exagérée quant à la proportion du bruit bien que son interprétation soit subjective. L'adjectif " funèbres ", qui rime avec " ténèbres ", fait comme un écho au climat lugubre instauré par ce substantif.
Anonyme
Posté le 27 oct. 2010
Désolé , j'ai cru que personne n'vais vu l'autre page , C pour cela que j'en est fait une autre
Anonyme
Posté le 28 oct. 2010
C'est vrai c'est bien , je ne suis pas HS ?
Anonyme
Posté le 28 oct. 2010
Par rapport à ce qu'on me demande

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