Trouver les sous-parties du commentaire Composée Candide : Chapitre 16

Publié le 30 oct. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 3 nov. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour à tous , Pour mercredi j'ai un commentaire composée à faire sur Candide , chapitre 16. J'ai trouver mes deux axes :
I-Un récit ironique et parodique qui met en scène les sauvages qui ne le sont pas tant que ça. et
II- Un récit satirique qui ridiculise les hommes civilisé )
mais je bloque sur mes 3 cous parties de l'axes I- et mes 3 sous-parties de l'axe II- . Pourriez-vous m'aider ? Voici le texte :


Ils étaient entourés d’une cinquantaine d’Oreillons tout nus, armés de flèches, de massues et de haches de caillou : les uns faisaient bouillir une grande chaudière ; les autres préparaient des broches, et tous criaient : « C’est un jésuite, c’est un jésuite ! nous serons vengés, et nous ferons bonne chère ; mangeons du jésuite, mangeons du jésuite ! »

« Je vous l’avais bien dit, mon cher maître, s’écria tristement Cacambo, que ces deux filles nous joueraient d’un mauvais tour. » Candide, apercevant la chaudière et les broches, s’écria : « Nous allons certainement être rôtis ou bouillis. Ah ! que dirait maître Pangloss, s’il voyait comme la pure nature est faite ? Tout est bien ; soit, mais j’avoue qu’il est bien cruel d’avoir perdu Mlle Cunégonde et d’être mis à la broche par des Oreillons. » Cacambo ne perdait jamais la tête. « Ne désespérez de rien, dit-il au désolé Candide ; j’entends un peu le jargon de ces peuples, je vais leur parler. - Ne manquez pas, dit Candide, de leur représenter quelle est l’inhumanité affreuse de faire cuire des hommes, et combien cela est peu chrétien. »

- Messieurs, dit Cacambo, vous comptez donc manger aujourd’hui un jésuite : c’est très bien fait ; rien n’est plus juste que de traiter ainsi ses ennemis. En effet le droit naturel nous enseigne à tuer notre prochain, et c’est ainsi qu’on en agit dans toute la terre. Si nous n’usons pas du droit de le manger, c’est que nous avons d’ailleurs de quoi faire bonne chère ; mais vous n’avez pas les mêmes ressources que nous ; certainement il vaut mieux manger ses ennemis que d’abandonner aux corbeaux et aux corneilles le fruit de sa victoire. Mais, messieurs, vous ne voudriez pas manger vos amis. Vous croyez aller mettre un jésuite en broche, et c’est votre défenseur, c’est l’ennemi de vos ennemis que vous allez rôtir. Pour moi, je suis né dans votre pays ; monsieur que vous voyez est mon maître, et, bien loin d’être jésuite, il vient de tuer un jésuite, il en porte les dépouilles : voilà le sujet de votre méprise. Pour vérifier ce que je vous dis, prenez sa robe, portez-la à la première barrière du royaume de Los Padres ; informez-vous si mon maître n’a pas tué un officier jésuite. Il vous faudra peu de temps ; vous pourrez toujours nous manger si vous trouvez que je vous ai menti. Mais, si je vous ai dit la vérité, vous connaissez trop les principes du droit public, les moeurs et les lois, pour ne nous pas faire grâce. »

Les Oreillons trouvèrent ce discours très raisonnable ; ils députèrent deux notables pour aller en diligence s’informer de la vérité ; les deux députés s’acquittèrent de leur commission en gens d’esprit, et revinrent bientôt apporter de bonnes nouvelles. Les Oreillons délièrent leurs deux prisonniers, leur firent toutes sortes de civilités, leur offrirent des filles, leur donnèrent des rafraîchissements, et les reconduisirent jusqu’aux confins de leurs États, en criant avec allégresse : « Il n’est point jésuite, il n’est point jésuite ! »

Candide ne se lassait point d’admirer le sujet de sa délivrance. « Quel peuple ! disait-il, quels hommes ! quelles moeurs ! si je n’avais pas eu le bonheur de donner un grand coup d’épée au travers du corps du frère de Mlle Cunégonde, j’étais mangé sans rémission. Mais, après
tout, la pure nature est bonne, puisque ces gens-ci, au lieu de me manger, m’ont fait mille honnêtetés dès qu’ils ont su que je n’étais pas jésuite. »

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai déjà trouver mes 2 axes : I- Un récit ironique et parodique qui met en scène des sauvages qui ne le sont pas tant que ça
II- Un récit satirique qui ridiculise les hommes civilisé.

Pourriez-vous m'aider a trouver mes 3 sous-parties de l'axes I- et mes 3 sous-parties de l'axes II- ??

Merci D'avance



1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 nov. 2010
salut
pour tes axes tu a tout a fait raison car ma prof de francais nous adonner les axes elle nous a dit

premier axes un recit parodique et ironique qui met en scene des sauvages qui ne le sont pas tant que cela

deuxieme axes un recit satirique qui ridiculise les hommes civilises

et moi aussi je suis cense trouver les sous parti je vouilais te demander si tu a reussi a trouver LES SOUS PARTI car je bloque enormement a trouver les sous partit des 2 AXES MERCI DAVANCE


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