Développement durable: contrainte ou opportunité pour une entreprise et les enjeux de l’économie numérique

Sujet du devoir

A l’aide des annexes 1 et 2 et de vos connaissances, répondez aux questions
suivantes :

L’entreprise en interaction avec son environnement

1. Quelles sont les activités du groupe Bolloré ?
2. Pourquoi peut-on dire que cette entreprise est diversifiée ?
3. Concernant l’activité « stockage d’électricité », montrez que l’entreprise s’adapte à son environnement Politique,Economique,Socioculturel
Technologique et Écologique
4. Quelle est la mission du ministère de l’écologie, du développement
durable, des transports et du logement ?
5. Qu’est-ce que le Grenelle de l’Environnement ?
6. Comment le Groupe Bolloré met-il en place une politique de développement
durable dans son entreprise ?
7. Le développement durable représente-t-il une opportunité ou une
contrainte pour un tel groupe ? ( Mettre opportunité d'un coté et les contraintes de l'autre)
8. Par rapport aux activités du groupe, que pensez-vous de la démarche ?
9. De manière plus générale, que pensez-vous du concept de développement
durable ?
Vous répondez à cette dernière question dans un paragraphe structuré
d’une dizaine de lignes.

Voici les deux annexes:
Annexes 1:

Sitographie
www.bollore.com
http://auto.partage.free.fr/
http://www.legrenelle-environnement.fr/
http://www.developpement-durable.gouv.fr/

Annexe 2:

Extrait d’un Entretien de Vincent Bolloré
Au coeur de la stratégie de Bolloré, la voiture électrique
Le groupe Bolloré a publié, mardi 15 mars, un chiffre d’affaires au titre de 2010 de 7 milliards d’euros (+ 17 %). […]. Vincent Bolloré, son PDG, explique les lignes directrices de sa stratégie.
À quoi attribuez-vous le rebond de vos résultats ?
[…] Ces dernières années, nous avons fait deux gros paris : les médias et le stockage d’électricité. Le pôle médias - la presse gratuite avec Direct matin et la télévision avec Direct 8 et Virgin 17 - coûtait au groupe,
jusqu’à présent, 100 millions d’euros par an. Grâce à la croissance des
recettes publicitaires, il a été à l’équilibre en décembre 2010, Direct 8
sera bénéficiaire cette année, Direct Matin et Direct Star pourraient l’être
dans deux ans.
Et votre second pari, le stockage d’électricité, combien cette activité
perd-elle ?
Nous passons en charges environ 100 millions d’euros en 2010. Mais
il s’agit de l’axe de développement le plus prometteur pour le groupe.
Jusqu’à présent, cette activité n’intéressait personne, alors que nous
étions leader mondial des composants pour condensateurs. Avec l’envolée
des prix du pétrole et la montée des préoccupations environnementales,
on s’est mis à rechercher des solutions alternatives aux énergies
fossiles. On voit avec ce qui se passe au Japon aujourd’hui que le
nucléaire ne va pas résoudre tous les problèmes.
Mais si l’on sait bien produire de l’électricité à partir d’énergies alternatives
(photovoltaïque, éolien, hydraulique), la stocker est beaucoup plus
compliqué. Or c’est un métier que nous maîtrisons depuis maintenant
trente ans. Quand je suis arrivé à la tête du groupe, je n’aurais jamais
pensé que cette activité deviendrait si stratégique. Aujourd’hui c’est la
nouvelle coqueluche d’une bonne partie de l’industrie, dont la voiture
électrique n’est qu’une application.
Il y a encore beaucoup de scepticisme sur cette technologie...
Effectivement. Pour le moment on en a vendu zéro. L’émergence du
véhicule électrique ne sera pas favorisée par les conducteurs, mais par
la pression des riverains, qui sont les plus nombreux. Un phénomène
qui ne s’arrêtera pas. Dans ce contexte, le succès du projet Autolib - le
système parisien de location de voitures électriques de courte durée - est
important.
Ce projet doit être lancé au quatrième trimestre. Vous serez prêt ?
Nous démarrerons à Paris et dans 44 communes limitrophes avec une
centaine de véhicules fin septembre. En mars 2012, il y aura 2 000
BlueCar dans les rues. Et 1 200 personnes seront recrutées. […]
Avec Autolib, pensez-vous gagner de l’argent ou s’agit-il d’abord d’une
vitrine ?
Nous pensons être bénéficiaires dès la troisième année. Si nous avons
9 clients par jour et par voiture avec un abonnement mensuel de
14 euros et une tarification de 5 euros la demi-heure, on peut gagner
de l’argent assez vite. Je dis à mes collaborateurs : « Soit la voiture électrique
marche et le groupe sera très riche, soit cela ne marche pas et le
groupe sera, aussi, très riche, car dans ce cas on cessera de dépenser
200 millions d’euros par an dans ce secteur. » Aucun groupe classique
coté n’aurait osé se lancer. Seule une société contrôlée par l’Etat - c’est le cas des Chinois - ou un groupe familial en est capable. […]

Propos recueillis par Stéphane Lauer et Jean-Michel Normand,
© Le Monde, 17/03/2011

Où j'en suis dans mon devoir

Je suis arrivee a la question 1 et 2 mais le reste j'ai besoin d'aide svp :/