besoin d'une explication

Publié le 6 févr. 2017 il y a 7A par Anonyme - Fin › 9 févr. 2017 dans 7A
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Sujet du devoir

 Lire les poèmes 6.7.8.10 relever des éléments qui décrivent Léopolidine  (exemple+procédés) a partir de ces éléments analysez le portrait que Hugo fait de sa fille en vous appuyant sur les poèmes . Attention cette analyse devra être compose deux sous-partis ces à dire deux paragraphe .

Je voudrais que vous m'expliquez comment faire Svp

 




8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 6 févr. 2017

je pense que tu doit faire une analyse de texte 

Anonyme
Posté le 7 févr. 2017

oui mais comment analysez le texte je vaisles poèmes en barres d'infos 

willffy
willffy
Posté le 6 févr. 2017

As-tu relevé tout ce qui dessine le portrait de Léopoldine?

 

Quels sont les poèmes?

Anonyme
Posté le 7 févr. 2017

pas du tout je n'ai pas encore relevé je sais pas comment faire avez vous une méthode je vous montre en descriptions les poèmes.

Anonyme
Posté le 7 févr. 2017

Poeme 6

Quand nous habitions tous ensemble
Sur nos collines d'autrefois,
Où l'eau court, où le buisson tremble,
Dans la maison qui touche aux bois,

Elle avait dix ans, et moi trente;
J'étais pour elle l'univers.
Oh! comme l'herbe est odorante
Sous les arbres profonds et verts!

Elle faisait mon sort prospère,
Mon travail léger, mon ciel bleu.
Lorsqu'elle me disait : Mon père,
Tout mon coeur s'écriait : Mon Dieu!

A travers mes songes sans nombre,
J'écoutais son parler joyeux,
Et mon front s'éclairait dans l'ombre
A la lumière de ses yeux.

Elle avait l'air d'une princesse
Quand je la tenais par la main;
Elle cherchait des fleurs sans cesse
Et des pauvres dans le chemin.

Elle donnait comme on dérobe,
En se cachant aux yeux de tous.
Oh! la belle petite robe
Qu'elle avait, vous rappelez-vous?

Le soir, auprès de ma bougie,
Elle jasait à petit bruit,
Tandis qu'à la vitre rougie
Heurtaient les papillons de nuit.

Les anges se miraient en elle.
Que son bonjour était charmant!
Le ciel mettait dans sa prunelle
Ce regard qui jamais ne ment.

Oh! je l'avais, si jeune encore,
Vue apparaître en mon destin!
C'était l'enfant de mon aurore,
Et mon étoile du matin!

Quand la lune claire et sereine
Brillait aux cieux, dans ces beaux mois,
Comme nous allions dans la plaine!
Comme nous courions dans les bois!

Puis, vers la lumière isolée
Étoilant le logis obscur,
Nous revenions par la vallée
En tournant le coin du vieux mur;

Nous revenions, coeurs pleins de flamme,
En parlant des splendeurs du ciel.
Je composais cette jeune âme
Comme l'abeille fait son miel.

Doux ange aux candides pensées,
Elle était gaie en arrivant...
-- Toutes ces choses sont passées
Comme l'ombre et comme le vent!

Poèmes 7::

Elle était pâle, et pourtant rose,
Petite avec de grands cheveux.
Elle disait souvent : Je n'ose,
Et ne disait jamais : Je veux.

Le soir, elle prenait ma Bible
Pour y faire épeler sa soeur,
Et, comme une lampe paisible,
Elle éclairait ce jeune coeur.

Sur le saint livre que j'admire,
Leurs yeux purs venaient se fixer;
Livre où l'une apprenait à lire,
Où l'autre apprenait à penser!

Sur l'enfant, qui n'eût pas lu seule,
Elle penchait son front charmant,
Et l'on aurait dit une aïeule
Tant elle parlait doucement!

Elle lui disait : «Sois bien sage!»
Sans jamais nommer le démon;
Leurs mains erraient de page en page
Sur Moïse et sur Salomon,

Sur Cyrus qui vint de la Perse,
Sur Moloch et Leviathan,
Sur l'enfer que Jésus traverse,
Sur l'éden où rampe Satan!

Moi, j'écoutais... -- O joie immense
De voir la soeur près de la soeur!
Mes yeux s'enivraient en silence
De cette ineffable douceur.

Et dans la chambre humble et déserte
Où nous sentions, cachés tous trois,
Entrer par la fenêtre ouverte
Les souffles des nuits et des bois,

Tandis que, dans le texte auguste,
Leurs coeurs, lisant avec ferveur,
Puisaient le beau, le vrai, le juste,
Il me semblait, à moi, rêveur,

Entendre chanter des louanges
Autour de nous, comme au saint lieu,
Et voir sous les doigts de ces anges
Tressaillir le livre de Dieu!

Poeme8:

A qui donc sommes-nous? Qui nous a? qui nous mène?
Vautour fatalité, tiens-tu la race humaine?
Oh! parlez, cieux vermeils,
L'âme sans fond tient-elle aux étoiles sans nombre?
Chaque rayon d'en haut est-il un fil de l'ombre
Liant l'homme aux soleils?

Est-ce qu'en nos esprits, que l'ombre a pour repaires,
Nous allons voir rentrer les songes de nos pères?
Destin, lugubre assaut!
O vivants, serions-nous l'objet d'une dispute?
L'un veut-il notre gloire, et l'autre notre chute?
Combien sont-ils là-haut?

Jadis, au fond du ciel, aux yeux du mage sombre,
Deux joueurs effrayants apparaissaient dans l'ombre.
Qui craindre? qui prier?
Les Manès frissonnants, les pâles Zoroastres
Voyaient deux grandes mains qui déplaçaient les astres
Sur le noir échiquier.

Songe horrible! le bien, le mal, de cette voûte
Pendent-ils sur nos fronts? Dieu, tire-moi du doute!
O sphinx, dis-moi le mot!
Cet affreux rêve pèse à nos yeux qui sommeillent,
Noirs vivants! heureux ceux qui tout à coup s'éveillent
Et meurent en sursaut!

poèmes 10

Pendant que le marin, qui calcule et qui dout
Demande son chemin aux constellations;
Pendant que le berger, l'oeil plein de visions,
Cherche au milieu des bois son étoile et sa route;
Pendant que l'astronome, inondé de rayons,

Pèse un globe à travers des millions de lieues,
Moi, je cherche autre chose en ce ciel vaste et pur.
Mais que ce saphir sombre est un abîme obscur!
On ne peut distinguer, la nuit, les robes bleues
Des anges frissonnants qui glissent dans l'azur.

Voila les poèmes 

 

1
willffy
willffy
Posté le 7 févr. 2017

Elle avait dix ans, et moi trente;

 

J'étais pour elle l'univers. Oh! comme l'herbe est odorante

 

Sous les arbres profonds et verts!


Lorsqu'elle me disait : Mon père,
Tout mon coeur s'écriait : Mon Dieu!


J'écoutais son parler joyeux,
Et mon front s'éclairait dans l'ombre
A la lumière de ses yeux.

Elle avait l'air d'une princesse
Quand je la tenais par la main;
Elle cherchait des fleurs sans cesse
Et des pauvres dans le chemin.

Elle donnait comme on dérobe,
En se cachant aux yeux de tous.

Le soir, auprès de ma bougie,
Elle jasait à petit bruit,



Les anges se miraient en elle.
Que son bonjour était charmant!
Le ciel mettait dans sa prunelle
Ce regard qui jamais ne ment.


C'était l'enfant de mon aurore,
Et mon étoile du matin!


Comme nous allions dans la plaine!
Comme nous courions dans les bois!

 

Nous revenions, coeurs pleins de flamme,
En parlant des splendeurs du ciel.
Je composais cette jeune âme
Comme l'abeille fait son miel.

Doux ange aux candides pensées,
Elle était gaie en arrivant...

 

Elle était pâle, et pourtant rose,
Petite avec de grands cheveux.
Elle disait souvent : Je n'ose,
Et ne disait jamais : Je veux.

Le soir, elle prenait ma Bible
Pour y faire épeler sa soeur,
Et, comme une lampe paisible,
Elle éclairait ce jeune coeur.


Leurs yeux purs venaient se fixer;
Livre où l'une apprenait à lire,
Où l'autre apprenait à penser!

Sur l'enfant, qui n'eût pas lu seule,
Elle penchait son front charmant,
Et l'on aurait dit une aïeule
Tant elle parlait doucement!

Elle lui disait : «Sois bien sage!»
Sans jamais nommer le démon;
Leurs mains erraient de page en page
Sur Moïse et sur Salomon,

 

 

Et dans la chambre humble et déserte
Où nous sentions, cachés tous trois,


Leurs coeurs, lisant avec ferveur,

 




 



 



 

willffy
willffy
Posté le 7 févr. 2017

I) Appoline

- son physique

- ses relations avec son père

- sa relation avec la nature

- son intérêt pour la lecture

- son comportement avec sa soeur

 

II) la détresse de Victor Hugo

 

Anonyme
Posté le 7 févr. 2017

Merci beaucoup  tu ma donne les exemple plus les procédés juste Une question pour analysez et après faire un paragraphe Je le fais comment spt??


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