Commentaire littéraire de La Curée d'Emile Zola

Sujet du devoir

J'ai un commentaire a faire sur le Chapitre 6 du livre D'Emile Zola.
J'ai déjà fait tout le commentaire, il me reste seulement la conclusion qui est plutôt dure a développer.

Où j'en suis dans mon devoir

INTRO

Deuxième roman de la série des Rougon-Macquart, La Curée raconte la course à la richesse de la bourgeoisie sous le Second Empire. À Paris, où se situe l'action de ce livre, comme en province, où se déroulait le roman précédent La Fortune des Rougon, apparaissent usines, gares, boulevards, banques. Cette activité économique, en plein développement, profite aux affairistes, favorise la corruption. Car la société impériale n'est pas seulement avide de richesses, elle l'est également de plaisirs. Paris n'est plus, écrit Zola, « qu'une grande débauche de millions et de femmes ».

Il s’agit d’une hallucination de Renée qui rend le texte fantastique, dans la glace Renée croit voir le personnage de Saccard et de Maxime. Cette hallucination débouche dans un petit passage descriptif de Saccard. La description que donne Renée de Saccard, n’est pas une simple description réaliste. Elle perçoit Saccard comme un maudit forgeron «dans les éclats du métal rougi, la chair brûlée». Renée à enfin l’interprétation que donne Zola de Saccard et de Maxime.
Scène représentée comme un passage hallucinatoire, quasi-fantastique
Ce passage est représenté comme un passage hallucinatoire, quasi-fantastique car lorsque le narrateur déclare « elle crut voire » le modalisateur donne tout de suite une illusion, le « croire » devient, dans ce contexte, une façon d’exprimer l’incertitude, d’hésitation, d’ambiguïté. Je remarque que le modalisateur disparait lorsque vient « apparaît » qui à présent nous donne une sorte d’entrée dans ce passage quasi-fantastique, ensuite « regardant les deux apparitions », Renée fait un pas en arrière. Une question me tourmenta l’esprit, cette illusion devient réalité ? Ou est-ce seulement le fruit de son hallucination ? Renée ne se voit pas ou plus dans la glace car est totalement vampirisé par Saccard et Maxime.

# La prise de conscience du rôle complémentaire de Maxime et de Saccard

*Le rapport entre « autrefois » et « maintenant », un rapport de prise de conscience et non une simple « vision ». « Elle comprenait maintenant, il lui parût grandit », l’imparfait de Maxime est très relatif au comportement habituel de ce cher « petit ». La prise de conscience ce fait tard, elle se rend compte quelle est en réalité « le fruit véreux » de ces deux hommes.

*Renée tout en se contemplant dans la glace, s’interroge comment elle en a abouti a cela et c'est ainsi qu'elle va comparer son époux a un ferronnier façonnant et ne songeant qu'a accéder a sa fortune, ne se souciant pas des ordre, utilisant Renée comme de l’or qui lui servirait a s’augmenter (comme par exemple lorsque Renée a des concubins) ainsi il ferme les yeux sur ses liaison d’adultères. Mais Maxime n’est pas la par hasard, lui il est « le chérubin » qui ramasse les louis d’or « tombé de la poche du spéculateur », qui ont été si bien façonnés, si bien « forgés » par ce « spéculateur ».

Zola emploie une phrase qui nous montre comment Saccard et Maxime l'ont dénudé de ses aptitudes innée, ainsi que celle qui aurait fallu lui être affectée grâce a sa hiérarchie de nativité, c'est ainsi qu'ils ont altérer Renée, en lui arrachant toutes qualités et en la métamorphosant en une sorte de « grande poupée ». Renée est dénaturalisée.

Et voici la conclusion trés courte que beaucoup de mal a développer :

CONCLUSION

Cette scène est capitale dans la vie de Renée.
Cette prise de conscience marque le début de son effondrement qui va l'amener jusqu'à la folie et jusqu'à la mort.

Merci pour votre aide !