Ecriture d'invention

Publié le 28 févr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 2 mars 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

depuis quelques jours dans une plantation de cannes a sucre des Antilles , un esclave qui a pu derober quelques feuilles de papier a son maitre raconte dans ce " journal intime " ce qu'il a vecu et ce qu'il vit depuis son depart en afrique . En une tranteine de lignes imaginez son texte en incorporant les sentimentsqui traversent le locuteur qui comdamera l'esclavage

Où j'en suis dans mon devoir

Je n'ai encore rien fait car je n'ai pas d'idee je ne sais par quoi commencer =( Sil vous plait aidez moi



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 28 févr. 2011
Tu pourrais ou prendre l'exemple d'un esclave qui ce sent mieux en tant qu'esclave car il a échappé a la guerre civil dans sont pays mais qu'il aimerait bien qu'on lui rendent sa liberté
Ou faire un écrit sur un esclave qui ne sait plus quoi faire qui est a bout de nerf a bout de force a cause du travail que les coup de fouet ne lui font même plus mal tellement il en a reçu mais qu'il s'affaiblie de jour en jour et qu'il a penser a mettre fin a c'est jour mais que cela lui est interdit par sa religion.
Voila ce que je te propose ^^
Anonyme
Posté le 1 mars 2011
Bonjour

Voici une idée des idées pour ton sujet :

Les conditions de vie des esclaves
1) La traite négrière
Elle s’effectue en trois temps :
La première étape : la capture des esclaves (il n’existe pas de bilan chiffré).
La deuxième étape : l’attente sur les côtes. On ne gardait que les esclaves ayant une valeur marchande. A partir de cette période, nous disposons de données chiffrées puisque les transactions effectuées sont des actes commerciaux qui par définition laissent des traces.
La dernière étape de la traite et la plus importante : la traversée. Il s’agit d’un long voyage durant trois à six semaines où le taux de mortalité s’élevait à environ 15%. Il s’est affaiblit par la suite principalement pour deux raisons : la durée des voyages diminuait (les techniques progressaient, on avait une meilleure maîtrise de l’itinéraire…), et le capitaine, voulant être rentable, limitait les pertes de vie humaines. Cette deuxième cause de la baisse de mortalité se traduisait par diverses obligations : avoir un chirurgien à bord, décontaminer régulièrement le bateau, sortir les esclaves, emporter des vivres frais… A partir de 1807, par le traité de Vienne, la traite est devenue illégale mais n’a pas cessé pour autant. Son illégalité a provoqué une augmentation du taux de mortalité puisque les conditions d’hygiène et de santé minimales n’étaient plus respectées.
2) L’esclavage
On peut classer les violences subies en deux catégories : les violences morales et les violences physiques.
La violence morale commençait tout d’abord par le déracinement, d’où l’importance des suicides. A cela succédait la déculturation : on changeait le nom des esclaves, souvent on ne leur attribuait qu’un simple surnom. De plus, on les baptisait deux fois : une première fois de manière collective dans le bateau pour ceux qui ne survivraient pas au voyage et une seconde fois individuellement pour leur attribuer un nom. Par cet acte, les planteurs s’appropriaient l’identité de leurs esclaves et ils l’officialisaient par une marque au fer rouge, violence physique et morale. Tout ceci était accompagné de nombreuses autres humiliations (inspections sanitaires…)
La violence physique se traduisait par la médiocrité des conditions de vie et de travail, sans oublier la sous-alimentation. La nourriture était calculée en vue de ne fournir aux esclaves que le strict minimum pour qu’ils puissent la réalisation de leur travail quotidien. Les châtiments et la répression étaient codifiés par le code noir dans les colonies françaises. Ils pouvaient se présenter sous différentes formes :
* Fouet
* Marquage à la fleur de lys pour les fugitifs
* Les amputations
* La peine de mort qui ne pouvait être attribuée que par les tribunaux royaux.
Par conséquent l’espérance de vie d’un esclave travaillant sur les plantations était courte, elle s’élevait environ à une quinzaine d’années. Et cette violence était encore plus développée pour les nouveaux arrivants…
La hiérarchie des esclaves
Au sein même des esclaves s’était créée une hiérarchie :
1) Les bossales ou les nègres d’Afrique
Récalcitrant à l’autorité du maître, ils sont soumis aux travaux les plus durs mais ce sont ceux dont on a le plus besoin. Les sociétés africaines n’avaient pas cette logique de productivité ainsi le rythme de travail et les horaires auxquelles ils étaient contraints étaient inhabituels (sic). Le travail était quasi militarisé sous les ordres d’un commandeur, esclave lui aussi mais d’un autre " grade ", qui rythmait le travail avec le fouet. Cela permettait rendement exigé.
2) Les esclaves créoles
Plus dociles, ils sont nés sur place et font parti de la deuxième génération. Ils ont souvent eu un apprentissage et on leur confie donc des tâches plus spécialisées (l’entretien des moulins à sucre, tout ce qui est lié aux métiers de l’artisanat…). C’est chez eux que l’on va recruter les commandeurs. Ils vivent beaucoup mieux.
3) Les domestiques
Ces esclaves sont au service du train de vie du maître. Ce sont des jardiniers, des cuisiniers, des servantes, des blanchisseuses… L’élite de cette domesticité vit avec le maître et leurs conditions de vie et de travail sont encore meilleures que celles des esclaves créoles.

J'espere que celà t'aidera
bonne journée
Anonyme
Posté le 1 mars 2011
as tu lu la case de l'oncle tom? tu pourrais te servir de ce livre.
cherches en même temps des documents et des arguments sur l'esclavage au moyen d'internet tu vas bien en trouver
a partir de la, crée ton journal en commençant par "cher journal"aujourd'hui 1 mai il pleut, j'ai du sortir les poubelles de mon maitre,je n'en avais pas envie ni le courage......c'est un exemple

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