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Sujet du devoir
Je dois inventer une fable, à la manière de Jean de la Fontaine, avec comme moral : on n'est jamais aussi bien servit que par sois-même.Les personnages doivent être des animaux
Où j'en suis dans mon devoir
Je n'y arrive pas du tout, aucune idée, aucune inspiration.. Si c'est possible que quelqu'un puisse m'aider..7 commentaires pour ce devoir
oui mais ce que j'ai trouvé sur ce site ne correspond pas avec mon sujet malheureusement.. :/
dis-moi déjà quels sont les animaux que tu aimes bien... on tâchera de t'épauler. Et aussi un peu l'histoire qui te trotte dans la tête... "on n'est jamais ussi bien servit que par soi-même"... je réfléchis mais parle-moi de tes "bestioles préférées".
Je pense prendre 2 animaux totalement opposé, comme un chien et un lion, ou un aigle et une souris.
L'histoire en elle-même, j'ai quelque idées, mais cela reste très vaste.. Par exemple, l'un des animaux est 'soumis' à l'autre, jusqu'au jour ou il lui fait fausse route, et l'autre animal ce retrouve sans rien,d'ou la morale.. :/ Je cherche depuis avant les vacances, et je bloque, c'est un sujet que je ne maîtrise pas du tout..
L'histoire en elle-même, j'ai quelque idées, mais cela reste très vaste.. Par exemple, l'un des animaux est 'soumis' à l'autre, jusqu'au jour ou il lui fait fausse route, et l'autre animal ce retrouve sans rien,d'ou la morale.. :/ Je cherche depuis avant les vacances, et je bloque, c'est un sujet que je ne maîtrise pas du tout..
un aigle et une souris vivaient dans une même région montagneuse
l'air était frais et la nourriture rare
la souris, fluette, menue, agile
trottinait par les sentiers de grande randonnée
et se nourissait de grains tombés de quelques tracteurs
ou de croûtons laissés par les marcheurs.
L'aigle de son côté, les ailes largement déployées
planait sur ces immensités et fonçait à pic
sur les pauvres mulots et souris innocents.
la chaine animale voulaint ainsi
que l'un soit prédateur de l'autre.
voilà un début, je réfléchis à la suite. A+
l'air était frais et la nourriture rare
la souris, fluette, menue, agile
trottinait par les sentiers de grande randonnée
et se nourissait de grains tombés de quelques tracteurs
ou de croûtons laissés par les marcheurs.
L'aigle de son côté, les ailes largement déployées
planait sur ces immensités et fonçait à pic
sur les pauvres mulots et souris innocents.
la chaine animale voulaint ainsi
que l'un soit prédateur de l'autre.
voilà un début, je réfléchis à la suite. A+
la chaine animale voulait ainsi
que l'un soit prédateur de l'autre.
Pourtant un jour, blessé, l'aigle fut cloué au sol
une patte fortement endommagée. Comment se nourrir dès lors ?
La souris, quelque peu effarée, s'approcha, lui parla,
le consola, prit pitié de lui et lui proposa un marché :
je t'aide à te nourrir, mais moi, tu me laisses tranquille !
L'aigle hésita, mais son gésier l'emportant, il accepta.
Pendant des semaines, la souris lui prodigua ses soins
et lui fournissait un garde-manger suffisant,
mais pas toujours du goût du rapace : des grains surtout
et quelques herbes maigres, quelques fourmis, pas de chair fraîche.
L'aigle se maintint en santé mais il se sentait faible.
Un jour la souris se pointa avec des restes de viande
elle chercha partout et ne vit plus l'aigle !
Où etait-il passé ? Etait-i guéri ? Avait-il pris son envol ?
Les semaines passèrent jusqu'au jour où ils se trouvèrent face à face.
Merci souris, lui dit l'aigle tu m'as bien aidé et je repectee ma promesse, mais dans la vie, quand on a faim,
on n'est jamais si bien servi que par soi-même.
Voilà... modifie, adapte... Bon courage
que l'un soit prédateur de l'autre.
Pourtant un jour, blessé, l'aigle fut cloué au sol
une patte fortement endommagée. Comment se nourrir dès lors ?
La souris, quelque peu effarée, s'approcha, lui parla,
le consola, prit pitié de lui et lui proposa un marché :
je t'aide à te nourrir, mais moi, tu me laisses tranquille !
L'aigle hésita, mais son gésier l'emportant, il accepta.
Pendant des semaines, la souris lui prodigua ses soins
et lui fournissait un garde-manger suffisant,
mais pas toujours du goût du rapace : des grains surtout
et quelques herbes maigres, quelques fourmis, pas de chair fraîche.
L'aigle se maintint en santé mais il se sentait faible.
Un jour la souris se pointa avec des restes de viande
elle chercha partout et ne vit plus l'aigle !
Où etait-il passé ? Etait-i guéri ? Avait-il pris son envol ?
Les semaines passèrent jusqu'au jour où ils se trouvèrent face à face.
Merci souris, lui dit l'aigle tu m'as bien aidé et je repectee ma promesse, mais dans la vie, quand on a faim,
on n'est jamais si bien servi que par soi-même.
Voilà... modifie, adapte... Bon courage
OUA ! Je te remercie, énormément :o je vais relire tout sa correctement, modifier un petit peu, mais tu m'as vraiment bien aidée, merci merci merci ! ! !
Soleen, ton bonheur est le nôtre. Tu nous diras ta note. Merci
Ils ont besoin d'aide !
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