histoire.

Publié le 1 juin 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 30 juin 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour tout le monde. J'airai juste voulu pouvoir réecrire ce texte, mais differement. Donc si quelqun pouvait m'aider, Ca serai super simpa ! Je vous remercie d'avance :)
Charlotte. (:


Les ouvriers d'usine restent très minoritaires au début du XIXe siècle . L'artisanat à domicile demeure toujours important ; il y a plus d'artisans, de maîtres... Que de réels ouvriers d'usine (sauf en Grande Bretagne où déjà 40 % de la population peut être dites ouvrière en 1850 ). Les ouvriers d'usine n'ont que leur force de travail et leurs bras à offrir. Les ouvriers ne sont pas que des hommes mais aussi des femmes ou des enfants qui travaillent parfois dès sept ans et que l'on paie 2 a 4 fois moins qu'un homme. Nous voyons dans certains témoignages que travailler à la mine est un travail très dur, il faut travailler 12heures avec une seule pause d'une heure pour pouvoir manger mais sans boire, il n'y a pas d'exception, même les femmes enceintes doivent travailler aussi dur et aussi longtemps. Il n'y a pas de sécurité et c'est un travail long avec un salaire vraiment faible. De plus le travail à une cadence élevé car il faut suivre le rythme des machines et à cause des machines il y a bien sur de gros risques d'accidents et de maladies grave ! Cette brutalisation par des conditions de travail épouvantables est compensée chez de nombreux ouvriers par une alcoolisation croissante. A l'époque, il n'existait aucune protection sociale en cas de maladie, d'accident, de chômage ou pour prendre en charge la vieillesse. Forcément quand il y a un imprévu cela jette l'ouvrier ou l'ouvrière dans une extrême misère. Les salaires sont dérisoires, tout juste de quoi survivre. Les ouvriers entrent en concurrence les uns avec les autres tant ils sont nombreux et toujours renouvelés par l'exode rural.

Les conditions de paiement ne sont pas meilleures, les ouvriers sont souvent rétribués à la tâche ou à la journée avec la menace omniprésente du licenciement. Nous n'oublierons pas la chronicité du chômage à cette époque qui frappe entre 10 et 15 % de la population active, ce qui accroît d'autant la pression à la baisse des salaires. Dans un des témoignages du cours on voit qu'un ouvrier ordinaires masculin gagnait par journée de travail (avant la crise) de 25 à 40 sous et communément 30 sous. Les femmes bonnes et adroits ouvrières gagnaient de 20 à 40 sous, les autres de 12 à 20 sous. Les jeunes gens de 12 à 15 ans de 12 à 24 sous et les enfants plus jeunes de 6 à 16 sous. Nous voyons donc qu'il n'y a pas vraiment d'égalité et que les salaires sont mal proportionnés.

Dans la première moitié du XIXe siècle on constate une évolution marginale du regard sur la pauvreté ouvrière, en effet il y a un début de prise de conscience. Les protestations ouvrières elles mêmes ont contribué à poser la question sociale au devant de la scène politique comme la révolte des canuts de 1831, le mouvement luddite en Angleterre où les ouvriers brisent les machines pour dénoncer leurs conditions de travail déstestable.

Le quotidien du monde ouvrier dans la première moitié XIXe siècle ne peut donc être que difficile ; plusieurs indices le prouvent, l'alimentation est lourdement déséquilibrée et souvent monotone, les logements sont exigus, sombres. La vie familiale est celle d'une promiscuité oppressante sans intimité. Il était donc très difficile de travailler à cette époque là.

Où j'en suis dans mon devoir




2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 juin 2010
bjr,

tu veux le recopier autrment parce que c'est du copie colle? et que tu dois fournir un texte personnel?

merci de me donner ta réponse pour connaitre la mienne
Anonyme
Posté le 1 juin 2010
Bonjour,

Mon camarade Michelbe55 a vu juste ; ton texte propose un copier-coller, qu'on retrouve sur plusieurs sites, notamment :
*** www.academie-en-ligne.fr/.../7/.../AL7HG20TEPA0209-Sequence-10.pdf
*** www.dissertationsgratuites.fr/dissertations/Le-Monde-Ouvrier-Dans-La-Premiere/38918.html

Chaa24, je te mets en garde : non seulement le plagiat est légalement interdit (droits d'auteur), mais les profs (dont je fais partie) ne sont pas dupes. Nous connaissons les sites sur lesquels vous pouvez vous approvisionner en ressources et nous vérifions de plus en plus la provenance réelle des copies.
Pour ta culture personnelle, sache que certains établissements scolaires sont dotés de logiciels permettant de :
- connaître exactement la provenance de certains paragraphes
- dresser des statistiques sur les mots pompés d'Internet et ceux qui émanent réellement de la création de l'élève

Bonne continuation !



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