fiche de lecture sur le cid

Publié le 20 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 22 mars 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

bonjours ma prof de français nous a donner une fiche de lecture a faire sur le cid estil me pose des question trop compliquer est jai pas compris .

Où j'en suis dans mon devoir

non mon travaille nest pas deja effectuer car elle nous la donner pour lundi , mai sles question son trop dur mais je ne suis pas la seul a ne pas avoir compris a se devoirs , la prof a expliquer deja a une personne de la classe mais jai toujours pas compris



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 20 mars 2010
tu peux nous approfondire le sujet sttp
Anonyme
Posté le 20 mars 2010
Salut, voilà ce que je t'ai trouvé ça devrait t'aider pour répondre à tes questions.

Fiche de lecture et résumé de Corneille
Auteur : Corneille


Eléments biographiques :
Pierre Corneille est un auteur du 17e siècle, il naquit en 1606 à Rouen dans une famille plutôt aisé. Il suit ensuite une carrière de droit puis en 1629 sort sa 1ére création qui est une comédie nommée Mélite. Il créa alors dans sa vie beaucoup de comédies. Sa 1ére tragédie fut Médée en 1635. Puis en 1637 Pierre écrit Le Cid, et il fut un immense succès. C'est grâce à cette fabuleuse pièce qu'il fut connaître de tous. En 1641 il épouse Marie Le Lampérière avec qui il aura sept enfants. En 1647 Corneille est reçu à l'Académie française. Il triompha avec Andromède puis avec Œdipe. Mais en 1670 des rivalités prirent ampleur avec Racine. 1674 échec de 4 pièces, il cessa d'écrire. Il mourra un 1er octobre 1684 à Paris

Époque : 17 ième
Date de publication : 1637.

Cette tragi-comédie est une pièce composée de 5 actes en vers de 12 syllabes (alexandrins). Le comte de Gormas, Don gomès a donné un soufflet à Don Diègue.Don diègue veut donc un duel contre Don gomès, mais étant donner qu'il est trop vieux (Vers 270-271 : Mais mon âge a trompé ma généreuse envie, Et ce fer que mon bras ne peut plus soutenir »). Il ordonne à son fils, Don Rodrigue de le venger. Malheureusement pour celui-ci, Don gomès et le père de Chimène sa bien-aimée. Rodrigue est alors soumis à un dilemme crucial : L'amour ou l'honneur. Il finit par choisir l'honneur et il décide alors de venger son père un affrontant Don gomès. Il tue Don gomès et venge son père. Par la suite il court chez Chimène pour qu'elle le tue de sa main. (Acte III scène 4, vers 961-962 : « Ton malheureux amant aura bien moins de peine, A mourir par ta main qu'à vivre avec ta haine »). Mais Chimène avoue qu'elle ne le hais point, qu'elle ne peux le tuer se propre main mais qu'elle veut tout de même le poursuivre pour l'honneur de son père. Don Diègue conseille alors à son fils de faire une guerre et d'y revenir vainqueur juste pour l'amour de Chimène, il s'exécute. Il revient vainqueur tout le monde ne parle que de lui. Mais Chimène souhaite pour être sure que Rodrigue est un héros, qu'il y aie un duel. Elle épousera le vainqueur. Don Fernand se propose alors. Don Fernand revient du duel avec une épée ensanglantée. Chimène contre toute attente s'emporte de fureur et de haine contre Don Fernand pour avoir tuer son amour. Après avoir vu que Chimène avait toujours des sentiments pour Rodrigue, don Fernand lui explique que Rodrigue lui a laissé la vie sauve mais que c'est lui le vainqueur. Dès lors leur amour peut s'élever au grand jour. La pièce se finit lorsque le roi propose à Rodrigue de partir en guerre.


Don Diègue et le comte de Gormas ont décidé d’unir leurs enfants qui s’aiment. Mais le comte , jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, donne un soufflet à son rival. Don Diègue, affaibli par l’ âge, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue en duel le père de Chimène. Sans renier son amour, Chimène demande la tête de Rodrigue au roi. Mais l’attaque du royaume par les Maures donne à Rodrigue l’occasion de sa valeur et d’obtenir le pardon du roi. Plus que jamais amoureuse de Rodrigue devenu un héros national, Chimène reste sur sa position et obtient du roi un duel entre don Sanche et Rodrigue. Elle promet d’ épouser le vainqueur. Rodrigue victorieux reçoit du roi la main de Chimène : le mariage sera célébré dans un délai d’un an.

Résumé par acte

ACTE I- Les amis du Comte de Gormas, réunis dans sa demeure, devisent avec lui de Rodrigue qui va, le jour même, être armé chevalier ; Chimène est là, qui se réjouit car son père est favorable à son union avec le jeune guerrier. Restée seule avec elle, l’Infante lui avoue son amour secret et sans espoir pour Rodrigue.

Devant la cathédrale de Burgos le peuple rend grâce à Dieu. Le Roi annonce la victoire sur les Maures, puis, non content d’avoir armé Rodrigue chevalier, il nomme Don Diègue gouverneur du prince héritier. Colère du Comte, soufflet, monologue de Don Diègue ("O rage, ô désespoir !"). Survient Rodrigue ; le coeur déchiré, après une apparition fugitive de Chimène, il accepte de venger son père.

ACTE II- Dans une rue de Burgos, Rodrigue erre seul, abattu ; il fait nuit. Enfin il se décide au moment où paraît le Comte ; duel. Le Comte est transpercé ; on s’empresse. Don Diègue embrasse son fils désespéré ; accourue sur les lieux, Chimène va de l’un à l’autre puis s’arrête devant Rodrigue : la pâleur du jeune homme ne laisse aucun doute. Les accents d’un Requiem montent du palais.

La foule en liesse, sur une place de Burgos ; l’Infante distribue des aumônes. Ballet. Le Roi fait son entrée bientôt suivi de Chimène qui exige la punition du coupable ; Don Diègue veut prendre sa place. Un émissaire maure se présente : la guerre va reprendre. Pour remplacer le Comte, son meilleur capitaine, le Roi choisit Rodrigue.

ACTE III- Chimène est seule dans sa chambre ; elle pleure. Rodrigue vient lui dire adieu. Reproches, aveux déguisés. La jeune femme dissimule son angoisse en envoyant son bien aimé au combat. Dans le camp de Rodrigue, les soldats boivent et chantent. Rapsodie mauresque à l’orchestre. A l’annonce de l’ennemi, les soldats s’enfuient. Resté seul, le jeune héros invoque Saint-Jacques de Compostelle qui, dans une vision, lui promet la victoire. Bataille.

ACTE IV- La nouvelle de la mort de Rodrigue est parvenue jusqu’à Grenade. Dans le palais des Rois, Don Diègue, Chimène et l’Infante sont au désespoir. Délié de son serment de vengeance par cette mort, Chimène clame son amour. Retour victorieux du Cid sur la grand-place de Grenade ; marche triomphale : soldats, captifs et captives, suivis du clergé, défilent. En vain, Chimène réclame le châtiment ; son amour la trahit, elle pardonne.


Portrait d'un personnage :
Chimène : Fille de Don Gomès qui est Comte de Gomas, elle est amoureuse de Rodrigue, et à pour gouvernante Elvire.

Chimène est une jeune fille amoureuse de Rodrigue mais lorsqu'il tue son père, elle le poursuit en justice et souhaite qu'il meurt. Seulement quand il lui demande de le tuer elle refuse et avoue vers 963 : « Va je ne te hais point ». Malgré l'honneur qu'elle veut sauver pour son père Chimène est épris d'amour pour ce cher Rodrigue et ne peut le tuer elle-même. D'ailleurs à la fin du livre lorsqu'elle apprends – alors que ce n'est pas vrai – sa mort elle s'emporte et insulte celui qui l'a fait. Malgré qu'elle dit vouloir le poursuivre, elle l'aime au plus au point.



L’unité d’action

C’est bien l’amour menacé de Rodrigue et Chimène qui constitue le sujet de la pièce. Cependant, on ne peut nier que la " tragédie de l’infante " est une intrigue secondaire venant se greffer, sans nécessité absolue, sur l’intrigue principale.
Corneille d’ailleurs le reconnaîtra dans un passage du Discours :
"Aristote blâme fort les épisodes détachés et dit que les mauvais poètes en font par ignorance et les bons en faveur des comédiens pour leur donner de l’emploi."
La " tragédie de l’infante " est de ce nombre.


L’unité de temps

L’action occupe sensiblement vingt-quatre heures ainsi réparties :

Premier jour, dans l’après-midi : querelle de Don Diègue et du comte, duel de Rodrigue et du comte.
Nuit : bataille contre les Maures.
Deuxième jour : assemblée chez le roi. Comme on le voit, la règle des vingt-quatre heures a été respectée mais Corneille dira dans son Examen combien cette contrainte a porté préjudice à la vraisemblance de l’intrigue :

" La mort du comte et l’arrivée des Maures s’y pouvaient entre-suivre d’aussi près qu’elles font, parce que cette arrivée est une surprise qui n’a point de communication, ni de mesure à prendre avec le reste ; mais il n’en va pas ainsi du combat de don Sanche, dont le roi était le maître, et pouvait lui choisir un autre temps que deux heures après la fuite des Maures. Leur défaite avait assez fatigué Rodrigue toute la nuit pour mériter deux ou trois jours de repos. "

" Ces mêmes règles pressent aussi trop Chimène de demander justice au roi la seconde fois. Elle l’avait fait le soir d’auparavant, et n’avait aucun sujet d’y retourner le lendemain matin pour en importuner le roi, dont elle n’avait encore aucun lieu de se plaindre, puisqu’elle ne pouvait encore dire qu’il lui eût manqué de promesse.

Le roman lui aurait donné sept ou huit jours de patience avant de l’en presser de nouveau ; mais les vingt quatre heures ne l’ont pas permis : c’est l’incommodité de la règle. "

L’unité de lieu

La pièce se déroule dans trois endroits différents : la place publique, le palais du roi et la maison de Chimène. Corneille a donc dévié la règle qui préconise le choix d’un lieu unique. Voici les explications qu’il donnera dans son Examen : " Tout s’y passe donc dans Séville, et garde ainsi quelque espèce d’unité de lieu en général ; mais le lieu particulier change de scène en scène, et tantôt, c’est le palais du roi, tantôt l’appartement de l’infante, tantôt la maison de Chimène, et tantôt une rue ou une place publique. On le détermine aisément pour les scènes détachées ; mais pour celles qui ont leur liaison ensemble, comme les quatre dernières du premier acte, il est malaisé d’en choisir un qui convienne à toutes. Le comte et Don Diègue se querellent au sortir du palais ; cela se peut passer dans une rue ; mais, après le soufflet reçu, Don Diègue ne peut pas demeurer en cette rue à faire ses plaintes, attendant que son fils survienne, qu’il ne soit tout aussitôt environné de peuple, et ne reçoive l’offre de quelques amis. Ainsi il serait plus à propos qu’il se plaignît dans sa maison, où le met l’espagnol, pour laisser aller ses sentiments en liberté ; mais en ce cas, il faudrait délier les scènes comme il a fait. En l’état où elles sont ici, on peut dire qu’il faut quelquefois aider au théâtre et suppléer favorablement ce qui ne s’y peut représenter. Deux personnes s’y arrêtent pour parler, et quelquefois il faut présumer qu’ils marchent, ce qu’on ne peut exposer sensiblement à la vue, parce qu’ils échapperaient aux yeux avant que d’avoir pu dire ce qu’il est nécessaire qu’ils fassent savoir à l’auditeur. Ainsi par une fiction de théâtre, on peut s’imaginer que don Diègue et le comte, sortant du palais du roi, avancent toujours en se querellant, et sont arrivés devant la maison de ce premier lorsqu’il reçoit le soufflet qui l’oblige à y entrer pour y chercher du secours. "


Contexte

Le Cid a été créé au Théâtre du Marais en janvier 1637 et publié à Paris en mars de la même année. Corneille s'est inspiré d'une comédie espagnole , Las Macedades del Cid ( les enfances du Cid) de Guillen de Castro. C'est la neuvième pièce de Corneille et sa seconde tragi-comédie. Cette œuvre en 5 actes connaît dès sa création un succès immense. Elle bouleverse le paysage dramatique de l'époque mais vaut à Corneille de vives critiques d'auteurs rivaux et de théoriciens du théâtre. Les pamphlets à l'encontre de l'auteur se multiplient. Richelieu s'en mêle et demande à la jeune Académie française de prendre position. Celle-ci, prudente, déclare cependant que la pièce pêche contre la vraisemblance tant sur le plan dramaturgique que sur le plan moral. Le public, faisant fi des critiques, se presse aux représentations ( En vain contre le Cid un ministre se ligue, Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue (Boileau)) . Paris, qui n'a jamais connu un tel triomphe ne parle plus que du cas de conscience de Rodrigue, partagé entre son amour pour Chimène et sa volonté de venger Don Diègue, son père offensé : le dilemme Cornélien est né...


Les Principaux personnages du Cid

Rodrigue (surnommé le Cid) : il est le fils de Don Diègue et l'amant de Chimène.

Chimène : elle est la fille du comte de Gormas et est amoureuse de Rodrigue qu'elle rêve d'épouser.

Le Comte de Gormas : le père de Chimène . il est le chef des armées et est le rival de Don Diègue.

Don Diègue : il est le père de Rodrigue. Vieillissant, il est un des grands personnages de Castille.

L'Infante : La fille du roi Don Fernand, elle est amoureuse de Rodrigue.

Don Fernand : le roi de Castille.

Don Sanche : gentilhomme, il est amoureux de Chimène.

Elvire : elle est gouvernante de Chimène.

Léonor : elle est gouvernante de l'infante.




Slogan :
Un simple soufflet peut mettre en péril plusieurs vies …

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