figure de style à savoir 4eme

Publié le 15 févr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 17 févr. 2010 dans 14A
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figure de style à savoir 4eme

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figure de style à savoir 4eme



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 15 févr. 2010
Que veux-tu savoir comme figures de style ?
Voilà celles que je connais :

La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ...
Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan.

La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison.
Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe.

La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. (c’est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le vent mugissait dans les branches et hurlait sous les portes.

L’antiphrase : expression ironique d’une idée par son contraire. Ex : Ah, tu es belle comme ça! =ça ne va pas du tout.

L’hyperbole : exagération dépassant la réalité. Ex : Tu es un génie.

L’anaphore : Un mot ou une expression est répétée en tête de phrase, de vers.

L’énumération, l’accumulation : il s’agit de la juxtaposition de mots séparés par des virgules. Cela accélère le rythme, crée le suspense ou souligne l’abondance.

En espérant t'avoir aider... :)

jérome
Anonyme
Posté le 15 févr. 2010
merci beaucoup
Anonyme
Posté le 16 févr. 2010
Sois plus clair stp!!
Anonyme
Posté le 16 févr. 2010
derien !
Anonyme
Posté le 16 févr. 2010
j'ajouterai les figures suivantes à la réponse de jérôme:

Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant.

Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemples : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque, V, 5) ou encore « La chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas » (Desnos, Corps et biens, « Chanson de chasse »).

Amplification (féminin) : L’amplification se fonde sur une gradation, succession d’idées ou de mots de plus en plus forts entre les termes d’une énumération ou dans la construction d’un paragraphe.

Antithèse (féminin) : Une antithèse est un procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, deux expressions, deux mots opposés pour mieux faire ressortir le contraste. Exemple dans Ruy Blas de Victor Hugo (acte II, scène 2) : « [...] un homme est là / qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile [...]. »

Assonance (féminin) : C’est la répétition d’une même voyelle dans une phrase ou un vers. Exemple dans Poèmes saturniens de Verlaine (« Mon rêve familier ») : « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant [...] ».

Chiasme (masculin) : On dit qu’il y a chiasme lorsque des termes sont disposés de manière croisée, suivant la structure A-B-B-A. Exemple dans Les Fleurs du Mal de Baudelaire : « Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon [...] » (« Le balcon »).

Emphase (féminin) : L’emphase désigne tout ce qui permet de renforcer une image, une idée.

Euphémisme (masculin) : L’euphémisme est une figure très connue qui consiste à remplacer une expression littérale (idée désagréable, triste) par une forme atténuée, adoucie. Exemple canonique : « Il a vécu. » pour « Il est mort ».

Litote (féminin) : Une litote consiste à dire moins pour suggérer davantage. La litote s’oppose à l’euphémisme. Exemple : l’énoncé « Il n’est pas laid. » pour dire « Il est beau. » est une litote.

Métonymie (féminin) : La métonymie consiste à désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui qui lui convient. La compréhension se fait grâce à une relation de cause à effet entre les deux notions (exemple : « boire la mort » pour « boire le poison »), ou de contenant à contenu (exemple : « boire un verre » pour « boire le contenu d’un verre ») ou encore de partie à tout (exemple : « une lame » pour dire « une épée »).

Oxymore (masculin) : L’oxymore est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraire à l’intérieur d’un même syntagme groupe de mots formant une unité par son sens et par sa fonction, à l’intérieur de la phrase.

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