Réecriture (URGENT)!!!

Publié le 23 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 25 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Remplace le pronom personnel il par elles dans le passage des lignes 19 à 25 de "C'était la fin de l'été.....jusque le fit presque sursauter.
Tu feras toutes les modifications nécessaires.

C'était la fin de l'été,un soir qu'il avait laissé la porte de sa boutique ouverte pour profiter de la fraîcheur de la nuit.Il était occupé à faire ses comptes sur son grand cahier spécial,à la lumiére d'une lampe à huile,et il suçotait,rêveur,son crayon à papier,quand une voix claire le fit presque sursauter:

Voilà!!!

Où j'en suis dans mon devoir

C'était la fin de l'été,un soir qu'elles avaient laissées la porte de leur boutique ouverte pour profiter de la fraîcheur de la nuit.Elles étaient occupées à faire leurs comptes sur leurs grand cahier spécial,à la lumière d'une lampe à huile,et elles suçotaient,rêveuses à leurs crayon à papier,quand une voix claire leurs fit presque sursauter!!!

Dites-moi si c'est bon corrigée moi si il y a des fautes d'orthographes?



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 23 mai 2010
sur leur grand cahier spécial (pas de "s" car c'est un cahier)
rêveuses leurs crayon (pas de"à", tu as du mal recopier)
une voix claire les fit presque sursauter ("les" et pas "leurs")

Je suis pas sur de mes réponses mais je pense que c'est ça.
Anonyme
Posté le 23 mai 2010
merci mais moi aussi je pense que c'est ça!!
Anonyme
Posté le 23 mai 2010
De rien
Anonyme
Posté le 23 mai 2010
bjr,

C'était la fin de l'été,un soir (où) qu'elles avaient laissé la porte de leur boutique ouverte pour profiter de la fraîcheur de la nuit.(ne serait ce pas OU plutot que QU il avait laissé, car ce n'est pas très français en l'état:)


Elles étaient occupées à faire leurs comptes sur leur grand cahier spécial,à la lumiére d'une lampe à huile,et elles suçotaient,rêveuses,leur crayon à papier,quand une voix claire les fit presque sursauter:
Anonyme
Posté le 23 mai 2010
C'était la fin de l'été,un soir qu'elles avait laisséesla porte de sa boutique ouverte pour profiter de la fraîcheur de la nuit.Elles étaient occupées à faire ses comptes sur son grand cahier spécial,à la lumiére d'une lampe à huile,et elles suçotaient,rêveuses,leur crayon à papier,quand une voix claire les firent presque sursauter:

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