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Sujet du devoir
Svp notre prof de français nous a demandé d'imaginer une fin pour ce texte ,le voila:Nous etions plongés dans silence terrifiant.Et soudain,tous ensemble,nous eûmes une sorte de susaut:un être glissait contre le mur du dehors vers la forêt;puis il passa contre la porte qu'il sembla tâter;puis on n'entendit plus rien pendant deux minutes;ppuis il revient,frôlant toujours la muraille;et il gratta légerment;puis soudain,une tête apparut contre la vitre,une tête blanche avec les yeux lumineux comme ceux des fauves.Où j'en suis dans mon devoir
voila j'ai vraiment besoin de votre aide les amis je n'ai pas beaucoup de temps pour trouver la fin je suis bloquée par les controles cette semaine ,et merci d'avance.3 commentaires pour ce devoir
ce texte est inspiré de la deuxième partie de "la peur" de Maupassant, que je te laisse découvrir.
http://www.bmlisieux.com/litterature/maupassant/lapeur.htm
Nous étions terrorisés, figés dans le silence et l'immobilité, partagés entre l'envie de fuir ou ne nous cacher et la peur de nous faire remarquer par la créature...
Tu peux choisir une fin en accord avec le début, purement fantastique,comme te le propose michelbe55.
Ou un retour à la réalité, comme dans Maupassant : une illusion transformée par la peur (reflet de lune dans la vitre + frottement d'une branche)ou une farce d'Halloween par des amis.
http://www.bmlisieux.com/litterature/maupassant/lapeur.htm
Nous étions terrorisés, figés dans le silence et l'immobilité, partagés entre l'envie de fuir ou ne nous cacher et la peur de nous faire remarquer par la créature...
Tu peux choisir une fin en accord avec le début, purement fantastique,comme te le propose michelbe55.
Ou un retour à la réalité, comme dans Maupassant : une illusion transformée par la peur (reflet de lune dans la vitre + frottement d'une branche)ou une farce d'Halloween par des amis.
Une angoisse tériffiante régnait dans la pièce. Le pouls de chacuns battaient de plus en plus vite. D'un geste brusque je fis tomber un vase et le monstre mystérieux resta figé en me fixant. La peur m'envahissait! D'un battement de cils , il disparut! Me doutant qu'il n'était pas partit je scrutai chaque recoin de la pèce, quand soudain la poignée de la porte se mit à tourner lentement. C'était lui, ce fauve! Hélas un orage explosa au mème moment. Certainement surpris par le bruit, il disparait en laissant aucune trace dérrière lui.
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Les unes après les autres, elles inspectèrent l'intérieur alors que nous restions figés, le souffle coupé.
Soudain le tonnerre retentit, la bête informe descendit lentement laissant une bave gluante sur la vitre.
Nous nous levâmes tout tremblants, et nous la vîmes disparaître au loin en direction du cirque de la sorcière.