looooooooooooool

Publié le 1 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 16 mars 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

demain jai une devoir de francais jai besoin d'un passage discreptif qui parle sur un chien et un autre sur un chat

Où j'en suis dans mon devoir

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7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 mars 2010
yassin, je me demande si cette demande est vraiment sérieuse, vu ce que tu nous mets dans le Où j'en suis ?... on a besoin de tes idées pour t'aider et non de ce genre de gaminerie... tu comprends. Alors reviens nous dire tes premières idées et avec cela on pourra t'aider à faire quelque chose de bien. Amicalement. A+
isanav
isanav
Posté le 1 mars 2010
Elle était belle, majestueuse avec son col de fourure couleur Zibeline. Toujous couché entre ses pattes, une boulle noire soyeuse dormait. Ils étaient loin d'être "comme chien et chat". Elle était gentille, toujours prtectrice auprès des enfants et de son copain le chat. Elle s'était Lassie, elle était fidèle en amitié. Elle ressemblait parfois à unlion pas une lionne, mais un lion à cause de son col. Ses longs poils balayaient le sol carrelé ensoleillé où son copain le chat l'attendait pour jouer.

Ils étaient inséparables. "L'une " est partie avant "l'autre" laissant leur famille dans une profonde tristesse.
Elle s'était unmmagnifique colleye (Lassie), lui s'était le chat (de goutière)


ajoute tes idées , continue ...
Anonyme
Posté le 1 mars 2010
Pour le chien, voici un extrait du chien de Baskerville

"Au même moment Lestrade poussa un cri de terreur et s’écroula la face contre terre. Je sautai sur mes pieds ; ma main étreignit mon revolver mais ne se leva pas ; j’étais paralysé par la forme sauvage, monstrueuse qui bondissait vers nous. C’était un chien, un chien énorme, noir comme du charbon, mais un chien comme jamais n’en avaient vu des yeux de mortel. Du feu s’échappait de sa gueule ouverte ; ses yeux jetaient de la braise ; son museau, ses pattes s’enveloppaient de traînées de flammes. Jamais aucun rêve délirant d’un cerveau dérangé ne créa vision plus sauvage, plus fantastique, plus infernale que cette bête qui dévalait du brouillard.

À longues foulées, cet énorme chien noir bondissait, le nez sur la piste des pas de notre ami. Nous étions si pétrifiés que nous lui permîmes de nous dépasser avant d’avoir récupéré la maîtrise de nos nerfs. Puis Holmes et moi fîmes feu en même temps ; la bête poussa un hurlement épouvantable : elle avait été touchée au moins par une de nos balles. Elle ne s’arrêta pas pour si peu ; au contraire elle précipita son galop. Au loin sur le chemin nous aperçûmes Sir Henry qui s’était retourné : il était blême sous le clair de lune ; il leva les mains, horrifié, regardant désespérément l’abominable créature qui fonçait sur lui.

Mais le cri de douleur qu’avait poussé le chien avait dissipé nos frayeurs. S’il était vulnérable, c’était donc une bête mortelle ; et puisque nous l’avions blessé, nous pouvions la tuer"

Puis un texte de Colette: le petit chat noir
J'ai peu vécu de la vie terrestre, où j'étais noir. Noir entièrement, sans tâche blanche au poitrail, ni étoile blanche au front. Je n'avais même pas ces trois ou quatre poils blancs, qui poussent aux chats noirs dans le creux de la gorge, sous le menton. Robe rase, mate, drue, queue maigre et capricieuse, l'oeil oblique et couleur de verjus, un vrai chat noir.

Mon plus lointain souvenir remonte à une demeure où je rencontrai, venant à moi du fond d'une salle longue et sombre, un petit Chat blanc; quelque chose d'inexplicable me poussa au-devant de lui, et nous nous arrêtâmes nez à nez. Il fit un saut en arrière, et je fis un saut en arrière en même temps. Si je n'avais pas sauté ce jour-là, peut-être vivrais-je encore dans le monde des couleurs, des sons et des formes tangibles.


Mais je sautais, et le Chat blanc crut que j'étais son ombre noire. En vain j'entrepris, par la suite, de le convaincre que je possédais une ombre bien à moi. Il voulait que je ne fusse que son ombre, et que j'imitasse sans récompense tous ses gestes. S'il dansait je devais danser, et boire s'il buvait, manger s'il mangeait, chasser son propre gibier. Mais je buvais l'ombre de l'eau, et je mangeais l'ombre de la viande, et je me morfondais à l'affût sous l'ombre de l'oiseau...

Le Chat blanc n'aimait pas mes yeux verts, qui refusaient d'être l'ombre de ses yeux bleus. Il les maudissait, en les visant de la griffe. Alors je les fermais, et je m'habituais à ne regarder que l'ombre qui règnait derrière mes paupières.


Mais c'était là une pauvre vie pour un petit Chat noir. Par les nuits de lune je m'échappais et je dansais faiblement devant le mur blanc, pour me repaître de la vue d'une ombre mienne, mince et cornue, à chaque lune plus mince, et encore plus mince, qui semblait fondre..


C'est ainsi que j'échappai au petit Chat blanc. Mais mon évasion est une image confuse. Grimpai-je le long du rayon de lune ? Me cloîtrai-je à jamais derrière mes paupières verrouillées ? Fus-je appelé par l'un des chats magiques qui émergent du fond des miroirs ? Je ne sais. Mais désormais le Chat blanc croit qu'il a perdu son ombre, la cherche, et longuement l'appelle; Mort, je ne goûte pourtant pas le repos, car je doute. Peu à peu s'éloigne de moi la certitude que je fus un vrai chat, et non pas l'ombre, la moitié nocturne, le noir envers du chat blanc.

Colette "Autres bêtes, Chats."

Bonne lecture
Anonyme
Posté le 11 mars 2010
Tu es serieux ?
Anonyme
Posté le 13 mars 2010
Bonjour,

Je qualifie franchement ta demande "imature" comme Compostelle d'ailleurs qui la trouve "gamine". Rapelle-moi dans quelle classe es-tu ? En 4ème ?? Je te dis d'avance que je suis en 5ème et que quand je pose des devoirs, je met un titre complet, qui justifie d'avance ce dont j'ai besoin et non "LOL", pour mon sujet, j'expose clairement mes attentions et j'essaye de faire le moins de fautes d'orthographe possibles (descriptif et non discreptif) et puis où j'en suis, je ne le remplis pas avec n'importe quoi "..... et non zoaokzeamzjamzlo^zaz c'est très amusant, non, de taper comme ça toutes les lettres du clavier et de les enfoncer au fur et à mesure hein ? C'est trop cool (Y) Trop fun, pas vrai ? ça sert un peu qu'à mettre ton clavier d'ordi en morceau mais à part ça, c'est une bonne partie de rigolade, tu dois être un adepte ? (je rigole bien sûr)

Bonne Journée,
Mathy (:

Anonyme
Posté le 13 mars 2010
Je te parle d'un ton ironique qui peut peut-être te mettre "en rogne" mais il faut bien que tu comprennes qu'en 4ème, il faut un peu évoluer mentalement !!
Anonyme
Posté le 13 mars 2010
Salut Yassinbradaii,

Quelles sont tes premières idées ?

Veux-tu un exemple ?

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