redaction conditionnel

Publié le 26 janv. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 28 janv. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Bonsoir,

Pouvez vous coorigez les fautes de ma rédaction silvouplé et puis me mettre la fin au passé simple ou au conditionnel présent.

Merci Eva

Alors voici le sujet: Vous imaginerez la suite du texte ci-dessous de façon à produire un récit fantastique. Vous veillerez à utiliser les caractéristiques de ce genre (expression du doute, de la peur, ambiance inquiétante...) en éviatnt les excés ( scénes sanglantes...) et en faisant en sorte que la fin laisse toujours planer un doute sur la réalité des événements.

Voici le texte (ou il faudra que je fasse la suite): Le château, de construction moderne, à l’italienne, avec deux ailes et trois perrons, se déployait au bas d'une immense pelouse étrangement déserte. De fins flocons tombaient avec lenteur sur les arbres dégarnis de feuilles. Deux statues au regard vide semblaient observer les personnes qui empruntaient l'allée. Sous un pont mal etretenu, subsistaient les traces dune riviere désormais asséchée. tout parraissait sans vie; il n'y avait aucun bruit.
A travers la brume, les toits du château pointaient, sombres et pointus.
Le boc de charles s'arêta devant le perron du milieu et sa famille et lui attendirent que quelqu'un viennes accueillir. Comme personne ne se présentait, ils décidèrent d'entrer à l'interieur du château. Le plancher grinçait sous leurs pas. Les meubles semblaient enfouis sous une épaisse couche de poussière, comme l'était le plafond sous les toiles d'araignée. Tout résonnait comme dnas une église. En haut d'un escalier droit, se tenait un homme qui devait être marquis. Il ne prononça pas un mot et fit un signe à la famille de Charles de le suivre. Il les emmena jusqu'à la salle de billard où il régnait une ambiance étrangement angoissante.

Où j'en suis dans mon devoir


Et voici ma rédac':
Lorsque nous empruntions le vieil escalier, le bois craquait et laissait planer un sentiment d'insécurité, mais le maître de céans ne dit mot.
Nous le suivions, un peu inquiets, l'escalier allait-il résister à notre poids? Des flambeaux, étaient scellés dans les murs tous les deux mètres, par des mains en bronze, dégageant des lumerolles peu efficaces.
Lorsque mon père atteignit le haut de l'escalier, je vis la main du dernier trembler et la lumière fléchir, mais il semblerait que j'étais le seul à avoir observé cette bizarrerie.
Je retins mon souffle si fort, qu'on aurait entendu voler une mouche. En haut de l'escalier, il y avait une dizaine de portes, toutes condamnées par de lourds cadenas, et pas une seule fenêtre, la sensation d'enfermement était encore plus oppressante.
Soudainement un vent intense se fit entendre, aucune clarté, et des craquements de plus en plus perceptibles.
C'était une marche d'escalier qui s'était fendue, la famille arriva donc enfin à la salle de billard. Dans cette salle il y avait...
une énorme armure, et des queues de billard accrochées au mur de part et d'autre.
Lorsque soudainement le casque de l'armure se mit à bouger, j'aurais bien hurlé, mais en vain, ils restaient tous de glace...
C'était juste une marche d'escalier qui s'était fendue, un petit moment de peur et la famille arriva enfin à la salle de billard. Dans cette salle il y avait au milieu, la table de billard rouge sang, les boules étaient bien centrées, comme si tout était prêt pour jouer. Avec sur le coté un violon. Ce qui était bizarre c'est que c'était la seule salle propre. Au fond de la salle un monsieur en manteau noir.

L’homme au manteau noir avait une canne de billard à la main, d’un coup il le leva son bras en brandissant la canne.

Nos jambes s’entre choquerent.

Il baissa ensuite lentement la canne en direction du billard nous faisant signe de venir jouer.

Quelques bribes de mots sortirent de sa bouche et nous comprirent que si nous perdions nous serions alors enfermés ici à jamais.

Je connaissais les regles pour avoir observé mon père mais je n’avais jamais joué.

La partie se mis en route, nous étions bien engagés pour gagner mais l’homme au manteau noir se mit d’un coup à hurler, le lustre au dessus de nos têtes vibra. Nous étions en train de perdre nos moyens. C’était notre tour de jouer, nous avions plus beaucoup de chance, nos jambes flageolaient de nouveau. Je pris la canne en main et lança ma dernière boule. Elle se mit à tournoyer, s’arreta presque au bord du trou, nous étions perdu… soudainement un grand coup de vent ouvrit violemment la fenêtre, l’homme se retourna brusquement, nos regards étaient encore figé sur la boule qui… aidée par la petite bourrasque glissa lentement vers le trou….



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 26 janv. 2010
kembo

bonjour,
pourquoi remets tu ton sujet , je te l'avais entièrement corrigé, sauf la fin que j'ai corrigée sur l'autre sujet en ligne, alors à quoi bon faire perdre du temps aux correcteurs?

je te fais remarquer au passage que les seules corrections apportées par cyberpro ne concernent que les dernières phrases que tu as mises à la fin...il te suffisait d'aller sur l'autre sujet déposé identique à celui ci pour trouver la dernière correction

Anonyme
Posté le 26 janv. 2010
j'ai corrigé entièrement ton récit malheureusement un bug m'a fait tout perdre.
Je n'ai pas envie de tout recommencer donc voici quelques remarques :
- Les 3 imparfait du début ne collent pas avec "ne dit mot", il faut un passé simple.

- fais aussi très attention aux mots ou expressions que tu emploies, ils sont souvent improprement employés :
"lumerolle" ça n'existe pas
"Je retins mon souffle si fort, qu'on aurait entendu voler une mouche" c'est pas parce qu'on s'empêche de respirer qu'on entend les mouches voler. Mais retenir son souffle peut faire mal !
"Nos jambes s’entre choquerent" non, les jambes flagolent ou sont en coton

evite aussi l'emploi de "soudainement" : préfère soudain ou tout à coup....

le verbe lancer est du 1er groupe donc sa terminaison à la 1ère pers. du singulier c'es "ai" et pas "a".


Relis et évite les répétitions :
"la famille arriva donc enfin à la salle de billard. Dans cette salle il y avait..." puis "un petit moment de peur et la famille arriva enfin à la salle de billard."

Pense à utiliser la ponctuation correctement pour les incises :
"nos regards étaient encore figé sur la boule qui… aidée par la petite bourrasque glissa lentement vers le trou…."
Un virgule après "la boule qui" et une autre après "bourrasque".

Anonyme
Posté le 26 janv. 2010
re,

au billard ce ne sont pas des cannes mais des queues...

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