Recherche sur Napoleon

Publié le 14 févr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 18 févr. 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

-Choisis 3 batailles Napoléoniennes: date-les,indique-les,les forces présentes et l'issue des batailles
-Indique comment Napoléon a placé sa famille et ses amis a la tête de la plupart des états vassaux
-Cite les 2 mariages de Napoleon Bonaparte:date-les,presenter les epouses et indique la raison de la repudiation de la premiere epouse et du choix de la 2 eme

Où j'en suis dans mon devoir

-Choisis 3 batailles Napoléoniennes: date-les,indique-les,les forces présentes et l'issue des batailles



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 14 févr. 2011
Les batailles napoléoniennes

Marengo - 14 juin 1800

Durant la journée du 13 juin le Premier Consul est à la recherche du général autrichien Mélas, il envoie une division de reconnaissance. Mélas posséde 37 000 hommes environ et pas loin de 200 canons. Il sait que les Français sont sur ses arrières, il veut donc avancer vers l'est. Le 14, les divisions autrichiennes sortent d'Alexandrie où ils s'étaient réfugiés et chargent les divisions de Lannes et Victor. Les Autrichiens sont nombreux ainsi que leurs canons. Les Français sont contraints de se replier. Sûr de sa victoire, Mélas quitte le champ de bataille en donnant le commandement à un de ses officiers. Seulement le général Desaix vient renforcer les Français grâce à son artillerie, il est aidé de Kellermann fils (fils du maréchal Kellermann). Durant l'assaut Desaix périra, l'attaque générale est donné, les Autrichiens se débandent et Mélas est enfermé, il se rend le lendemain.

Ulm - 19 octobre 1805

Le 19 octobre 1805, Ulm fut une grande victoire conduite avec génie, l'armée autrichienne, forte de 80 000 hommes, était postée en Bavière, au débouché de la Forêt-Noire, et attendait les troupes de Napoléon qui avait quitté Boulogne. Mais le gros des forces françaises, avec une rapidité surprenante d'exécution, avait traversé le Rhin beaucoup plus en aval que prévu, dans la région de Mayence, et se présenta sur les arrières des Autrichiens. Ces derniers étaient pris au piège, enfermés dans l'Ulm, ils capitulèrent le 20 octobre 1805. 27 000 hommes et 8 généraux défilèrent durant cinq heures devant Napoléon qui s'était placés devant ses généraux ; stupéfaits et admiratifs, certains Autrichiens crièrent « Vive l'Empereur ».

La reddition d'Ulm

Cette peinture de Thévenin montre la scène au cours de laquelle le général autrichien Karl Mack se rend à Napoléon après avoir été enfermé dans Ulm le 19 octobre 1805.
Reddition d'Ulm, le 20 octobre 1805 - par Charles THEVENIN (Château de Versailles)
Trafalgar - 21 octobre 1805

Nelson, au sommet de sa gloire, largement reconnu même par Napoléon, avait préparé soigneusement son attaque. Il allait attaquer la flotte française commandée par le Vice-Amiral Villeneuve sur son flanc. Il avait exposé sa tactique au cours des dîners sur le H.M.S (Her Majesty's Ship) Victory. Inférieurs en nombre, il allait diviser l'attaque en trois, c'était risqué mais le moral de ses hommes était supérieur, et ils maniaient mieux le canon.
Le jour de la bataille, il avait obtenu moins de navires, aussi divisa-t-il l'attaque en deux. Les navires franco-britanniques étaient bientôt encerclé, le Victory se fraya un chemin et tira une bordée meurtrière sur le vaisseau amiral français : le Bucentaure, le mettant hors de combats d'un seul coup. S'ensuivit des combats singuliers entres les navires où les britanniques avaient l'avantage. Les vaisseaux anglais s'engouffrèrent dans la brèche du Victory. Mais le Victory, s'était engagé avec le Redoutable dont le commandant Lucas, avait entraîné ses hommes au maniement des armes portatives. En peu de temps, le pont supérieur du Victory était balayé par une grêle de balles de fusil et pistolet. L'amiral Nelson était mortellement touché, il put néanmoins réaliser qu'il avait gagné la victoire que les britanniques avaient tant besoin. Trafalgar donna la maîtrise maritime aux anglais, et détruisit presque toute la flotte franco-espagnole qui ne s'en remit pas. Un autre navire français célèbre l' Indomptable disparût ce jour-là, il avait largué les amarres au cours de la bataille mais fut pris par un ouragan sur les côtes espagnoles. Napoléon est ainsi enfermé en Europe, mais la victoire d' Ulm survenu la veille fit étouffer les échos des canons de Trafalgar dans toute l'Europe.

Anonyme
Posté le 14 févr. 2011
BONJOUR
Né le 15 août 1769 à Ajaccio (Corse), Louis Napoléon Bonaparte est le 2ème fils de Carlo Maria Buonoparte et de Letizia Ramolino. Son père, avocat au conseil supérieur de Corse, le reconnaît noble en 1771, assesseur de la juridiction royale des provinces et de la ville d’Ajaccio. Il fut aussi élu député de la noblesse de Corse auprès du roi en 1777. Il lutta pour l’indépendance de la Corse. Napoléon fut donc élevé dans le ressentiment vis-à-vis de la France. Le 1er janvier 1778, Napoléon et son frère Joseph entrent au collège d’Autum. Le 15 mai 1779, Napoléon est admis au collège militaire de Brienne. Il le quittera en 1784 pour l’école royale militaire de Paris.
En 1785, alors qu’il n’a que seize ans, il devient lieutenant en second dans l’artillerie et est affecté en garnison à Valence. Mais son père meurt la même année et il est contraint de soutenir les intérêts familiaux et d’entretenir ses frères et sœurs.

La nuit du 4 août 1789, l’abolition des privilèges ouvre toutes les portes d’une grande carrière militaire à Napoléon. Pourtant, comme son père, il s’engage dans les luttes politiques de l’île. Néanmoins il est réintégré dans l’armée royale et nommé capitaine tout en s’opposant, comme lieutenant-colonel de la Garde nationale d’Ajaccio, aux " paolistes " qui cherchent à établir l’indépendance de l’île avec l’appui des Anglais. En juin 1793, lors de la déclaration de l’indépendance de la Corse, il se rallie définitivement à la France.

Durant l’été 1793, la France, dirigée par le Directoire, est menacée par l’Europe des rois coalisés. Napoléon est nommé chef d’artillerie et affecté au siège de la ville de Toulon qui se trouve sous l’emprise des Anglais. Il contribue dès lors à sa prise le 17 décembre 1793. En récompense, il est désigné général de brigade par le Comité de Salut public.

Le 5 octobre 1795, il est chargé par Barras de réprimer l’insurrection royaliste de Paris dirigée contre le Directoire. En récompense, il est nommé général de division et commandant de l’armée de l’Intérieur. Le 11 mars 1796, Napoléon part pour l’armée d’Italie dont il a reçu le commandement le 2 mars 1796 en tant que général en chef de l’armée d’Italie ; et ce jusqu’au 5 décembre 1797, date de son retour à Paris.

Le 19 mai 1798, Napoléon Bonaparte s’embarque cette fois-ci pour l’Égypte. Il y restera jusqu’au 23 août 1799. Cette expédition achèvera de parfaire sa popularité. Les 9 et 10 novembre 1799 (18 et 19 brumaires de l’an VIII), les conjurés désignent un consulat provisoire à la tête duquel ils nomment le général Bonaparte assisté de Ducos et de Sieyès. Le 15 décembre 1799, Napoléon proclame la Constitution autoritaire de l’an VIII, pour ensuite devenir 1er Consul muni d’un pouvoir considérable.

En 1801, Napoléon signe le Concordat avec le pape Pie VII. Il obtient le droit de veto sur les nominations ecclésiastiques. Suite à ce rétablissement de l’Eglise et du culte catholique, Napoléon amnistie les émigrés le 26 avril 1802. Durant quatre ans, le 1er Consul pacifie le pays, réorganise l’administration, les finances, la Justice et l’Eglise, donne donc à la France de grandes institutions : il crée la Banque de France, affirme la liberté d’entreprise, introduit un livret de travail, ainsi que le Code d’honneur et promulgue le Code civil le 21 mars 1804. A l’extérieur du pays, Napoléon part de campagnes en campagnes (Italie, Allemagne, Angleterre, Hollande, Suisse, Autriche,...).

En 1802, assuré de tous les pouvoirs, la Constitution de l’an X le désigne Consul à vie. Jusqu’à son sacre d’Empereur en 1804, Napoléon ne cessera de s’investir dans sa fonction. Il deviendra d’ailleurs le médiateur de la Confédération suisse en 1803. Grâce à son prestige auprès du peuple et à son génie politique, le 18 mai 1804, le sénat vote à l’unanimité l’instauration du gouvernement impérial, proclamant ainsi Napoléon empereur héréditaire des Français. Finalement le 2 décembre 1804, Napoléon, désormais appelé Napoléon Ier, est sacré empereur par le pape Pie VII à Notre-Dame de Paris.

Napoléon Bonaparte se popularise très vite par son génie militaire, ses capacités de général, sa science, sa bravoure et son sens stratégique. Durant les premières années de sa vie, il fut un enfant querelleur, orgueilleux, " corse de caractère et de nation ", turbulent, émotif et colérique par la suite.

Au combat, son courage lui valait l’adoration des grognards. Toujours en première ligne et s’exposant volontiers au feu de l’ennemi, il risqua sa vie plusieurs fois. Il fut notamment touché au pied. La mort ne lui faisait pas peur ; il affirmait notamment " La mort n’est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c’est mourir tous les jours ". L’honneur et la gloire étaient pour lui les valeurs les plus importantes. On les retrouve toujours présentes dans ses paroles : " Tout homme qui estime la vie plus que la gloire nationale et l’estime de ses camarades ne doit pas faire partie de l’armée française " ou " L’armée c’est la nation ". Napoléon était un homme d’honneur et de nation.

Seulement, il parlait très peu. Son caractère farouche d’insulaire le rendait insociable, frondeur, sauvage et silencieux avec ses condisciples, dans un milieu où il se sentit longtemps étranger. De plus, Napoléon, homme de pouvoir, se révèle souvent hésitant au moment de prendre des décisions, surtout lorsqu’il ne se trouve pas sur un terrain familier. Facilement porté à la dépression, il portait souvent un sachet de poison " au cas où ". Il tentera, semble-t-il, de se suicider en 1814.

Réaliste et empiriste, Napoléon ne semblait pas avoir tenu à des principes arrêtés. Il était difficile de voir en lui, sur le plan religieux, un croyant. Sa conception de Dieu et de la religion rejoignait celle de Voltaire : le christianisme est un facteur d’ordre social. Rumeur ou certitude, il aurait été initié en Égypte à la franc-maçonnerie.

Napoléon Bonaparte était doté d’une intelligence exceptionnelle. Doué en mathématiques, il inventa même un problème qu’il exposa devant l’Institut. Cependant, il n’en dévorait pas moins des traités d’art militaire, lisait les philosophes (comme Montesquieu, Rousseau et Voltaire) et les grands penseurs politiques (dont Mirabeau et Necker). Il était capable de travailler 18 heures par jour ! Pourtant, la seule matière qu’il ne parvint jamais à maîtriser fut l’orthographe. Apparemment, cette lacune ne l’a pas trop handicapé.

Au physique, Bonaparte était maigre aux longs cheveux, mesurait 1,686 m, portait de petits chapeaux originaux et une redingote souvent rapiécée et faisait preuve d’une grande hygiène. Côté dépenses, il économisait la moitié de son salaire ; quant à la cour, malgré son faste, elle ne coûtait pas le quart de celle de Louis XVI. Le luxe lui était indifférent.

Napoléon, soldat, lieutenant, capitaine, général, consul puis empereur, ses fonctions se sont sans cesse multipliées. Pourtant, ses qualités d’administrateur surpassaient celle de général. Pour les guerres nationales, les effets fondés sur la surprise ne jouèrent bientôt plus contre l’adversaire lorsque celui-ci eut compris la leçon. En revanche, il a imposé des conceptions administratives qui annoncent une nouvelle époque.

Finalement le génie de Napoléon se conclut par son impressionnant sens de la propagande. Il utilisait la presse et l’image à son profit, comme aujourd’hui. " C’est le succès qui fait les grands hommes " disait-il. Ce nom même de Napoléon devint désormais le symbole du conquérant.
Anonyme
Posté le 14 févr. 2011
BONNE CHANSE
C'EST TROP LONG
Anonyme
Posté le 14 févr. 2011
Il y a la bataille de Waterlooo.
Bonne chance.

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