Commentaire littéraire: KANT: Fondements de la métaphysique des mœurs.

Publié le 23 oct. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 1 nov. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

éfaits, le coupable se rit de la crainte des reproches intérieurs qui font le tourment des honnêtes gens. Si pourtant il arrive parfois au méchant de s'adresser quelques légères remontrances, la conscience n'y a aucune part, ou c'est qu'il lui reste encore un peu de conscience. Mais, dans ce dernier cas, les remords sont largement compensés par le plaisir que lui procurent les sens et qui est le seul à avoir pour lui quelque saveur. »
KANT

Où j'en suis dans mon devoir

Autour de l'œuvre:

_La métaphysique: partie de la philosophie qui étudie des objets inaccessibles à l'expérience, situés au-delà de l'expérience (Dieu, l'âme,....).
_Contexte: Les fondements de la métaphysique des mœurs annonce la critique de la raison pratique.
Il recherche en fait ''le principe suprême de la moralité'' ainsi que la morale tirée de l'expérience.
_Thèse centrale: Dire qu'une action moralement est bonne c'est lorsque son principe d'action est universelle et commun à tout les êtres. Dans le cas inverse, l'action est moralement mauvaise à condition que son universalisation engendre ainsi des dommages ou contradictions.

Notes:

_ « On croit généralement que toute faute, de sa nature, entraîne dès ici-bas sa propre punition. » → Toutes fautes faites par l'homme sur la terre engendre une punition.
_ But: principe suprême de la moralité ( morale pour l'éthique ).



Cet extrait des Fondements de la métaphysique des moeurs exprime « le principe suprême de la moralité » ainsi que la morale tirée de l'expérience. Toutes fautes faites par l'homme sur la terre engendre une punition. Dire qu'une action moralement est bonne c'est lorsque son principe d'action est universel et commun à tout les êtres. Dans le cas inverse, l'action est moralement mauvaise à condition que son universalisation engendre ainsi des dommages ou contradictions.

La morale (ou l'éthique= partie de la philosophie qui étudie la morale et ses fondements) concerne les règles de conduite en usage dans une société et leur étude philosophique. Kant cherche à montrer que l'homme est bien plus sévère envers autrui que envers lui même. Il est même moins vertueux que sévère. En réalité, on reproche souvent aux autres leurs méfaits, tandis que nous faisons les mêmes. Par exemple, une personne reprochant à quelqu'un d'être faignant, alors que cette même personne est faignante. Mais elle ne s'en rend pas compte.
Dans le cas inverse, si l'homme n'est pas sévère, qu'il ne punit pas en cas d'ineptie, il n'y aurait plus de limites, ce serait l'anarchie. Et si le méchant ne subit pas de sanctions en conséquence de ses méfaits, il s'en amusera et les bonnes personnes, elles ont peur.
Parfois les méchants ont des regrets. Ce n'est dût à la conscience ou bien qu'il est à moitié conscient de ce qu'il fait. Mais le plaisir que lui procure ces actions est bien plus grand que les remords qu'il a.



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