Dissertation de philo

Publié le 9 avr. 2020 il y a 4A par sheldaouadah04 - Fin › 13 avr. 2020 dans 4A
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Sujet du devoir

Bonjour , j'ai besoin d'aide :

 

Mon sujet porte sur 

Les échanges favorisent-ils le bonheur ?

 

Est-il possible que vous m'aidiez ?




5 commentaires pour ce devoir


Abdel HAKIM
Abdel HAKIM
Posté le 9 avr. 2020

Salut sheldaouadah,

 

Commence par décomposer ton sujet. Tu pourras alors voire plus clair.

Tu as 3 parties dans l'énoncé :

  1. les échanges
  2. favorisent
  3. le bonheur

Tu vois maintenant les composantes de ta problématique.

On te demande d'étudier si des échanges vont te permettre d'être heureux.

Tu dois donc te poser les questions suivantes :

  • qu'est-ce qu'un échange ?
  • qu'est-ce que le bonheur ?
  • quels sont les rapports éventuels entre les échanges et le bonheur ?
  • en quoi les échanges peuvent-ils mener aux bonheurs ?
  • existent-ils des cas où les échanges feront l'inverse et donc rendent tristes ?
  • En répondantà ces différentes questions de façon logique (avec des mots de liaisons entre les différents points tu pourras montrer les rapports bénéfiques et sains ou conflictuelles entre les échanges et le bonheur)
  • en guise en conclusion, tu résumes ce que tu auras développé et tu élargies sur une nouvelle question (Ex : les échanges favorisent effectivement dans certains cas le bonheur alors que dans d'autres non. Une question plus judicieuse ne serait-elle pas de savoir définir ce qu'est le bonheur ? En d'autres termes, l'éducation et la communication ne sont-elles pas les clés d'une harmonisation des échanges qui mèneraient à un bonheur pérenne ?)

Merci de me donner un retour.

N'hésite pas à me poser des questions.

 

sheldaouadah04
sheldaouadah04
Posté le 10 avr. 2020

Bonjour , 

Merci beaucoup , 

Donc voilà moi j'ai effectuer un plan en séparant le bien du mal donc j'ai fait :

 

I) Les échanges empêchent l'accès au bonheur 

A) Les échanges peuvent entraver le sentiment de bonheur

B) Le fait d'avoir toujours plus de désirs peut contribuer  un état d'insastisfaction

C) Les échanges au milieu de la sociéte entraine une surcomsommation

 

II) Les échanges favorisent le bonheur car ils apportent 

A) Malgré que le bonheur est une utopie, il est possible de l'acquérir

B) La transmission de savoir apporte le sentiment de bonheur

C) j'ai pas trouvé

 

merci d'avance de me dire si c'est bon ou pas 

 

j'ai mis cela en intro

 

Spontanément, il semble que les échanges favorisent le bonheur car ils permettent d’acquérir des connaissances avec la transmission de savoir, mais encore , ils peuvent créer des liens ce qui amène à la création de mouvements. Toutes ces actions permette d’atteindre un état de satisfaction.

En effet le bonheur ne signifie-t-il pas pas avoir ce que je souhaite ?

De plus les échanges, favorisent-ils vraiment le bonheur ?

Par la transmission de savoir cela apporte-il des connaissance à l’être humain ?

Abdel HAKIM
Abdel HAKIM
Posté le 10 avr. 2020

Salut sheldaouadah,

 

Tout d'abord avant de commencer. Je suis chez moi devant l'ordi cet aprèm.

Donc n'hésite pas si tu as des questions.

 

Maintenant

je trouve que çà n'est pas mal, mais on ne voit pas apparaître les définitions de bonheur ni d'échange. De plus, à travers tes écrits, on comprend qu'un échange ne peut être que matériel.

Je vais te proposer des idées et dis moi ce que tu en penses (tu peux les accepter ou les rejeter)

 

bonheur : c'est un sentiment de bien-être. On ne l'atteint que lorsque ce que l'on fait et ce que l'on dit sont en adéquation.

 

échange : un phénomène qui requièrent une relation entre 2 individus. Il correspond à

laisser (qqch.) à qqn en recevant une autre chose en contrepartie. çà peut être des biens, des documents ou des paroles. (dialogue, conversation, commerce, communication, exportation)
 
 
 
A travers ces 2 définitions, tu vois une structure se dessiner :

 

  1. Grand section Bonheur est atteint
  2. Sous parties
  • échange = objet (commerce)
  • échange = savoir (éducation, relation prof/élève)
  • échange = relation voisinage (civisme)
  • échange = amour (passion)

 

Pour les grande parties, tu gardes ton plan I) Les échanges empêchent l'accès au bonheur II) Les échanges favorisent le bonheur car ils apportent

 

et tu intègres les sous parties énumérées ci-dessus.

Dans la partie I

  • échange = objet (commerce)   les arnaques répétitives nous font sortir de notre état de sérénité
  • échange = savoir (éducation, relation prof/élève) certains excès abus, les inégalités, les difficultés
  • échange = relation voisinage (civisme)  les mauvais voisins
  • échange = amour (passion) tu donnes tout et tu ne reçois rien en échange, l'infidélité, la trahison...

Puis tu fais un petit paragraphe de transition:

ex : il est vrai que les échanges engendrent des difficultés qui nous déstabilisent et nous mènent à des états négatifs tels que la dépression. Cependant, tous les échanges engendrent-ils les mêmes résultats ? N'en existent-ils pas des positifs vecteurs du bonheur ?

 

Là commence ta deuxième partie :

  • échange = objet (commerce)   les voyages qui ont laissés des bons souvenir. les objets que tu utilises au quotidien et qui facilite la vie
  • échange = savoir (éducation, relation prof/élève) les bons profs, le fait que tu deviennes autonome, le fait que tu t'épanouis
  • échange = relation voisinage (civisme)  les bons voisins qui aident, qui sourient
  • échange = amour (passion) une vraie personne de confiance avec qui tu es vraie, ...

 

Vient enfin ta conclusion comme déjà dit

"en guise en conclusion, tu résumes ce que tu auras développé et tu élargies sur une nouvelle question (Ex : les échanges favorisent effectivement dans certains cas le bonheur alors que dans d'autres non. Une question plus judicieuse ne serait-elle pas de savoir définir ce qu'est le bonheur ? En d'autres termes, l'éducation et la communication ne sont-elles pas les clés d'une harmonisation des échanges qui mèneraient à un bonheur pérenne ?)"

 

Tu peux aussi dire qu'entre un échange qui apporte le bonheur et un qui ne l'apporte pas, la différence est très fine. C'est le rapport que l'on a soit à l'échange qui le ménera à l'option 1 ou à l'option 2.

 

 P.S. : A travers la définition d'échange, tu vois que si ce que tu donnes et ce que tu reçois ne se compensent pas, alors une inégalité apparaît. C'est cette dernière qui crée une instabilité et engendre l'aspect négatif de la relation.

ex: si tu souris et que je te fais la gueule, il y a inégalité.

Logiquement, tu ne vas pas être contente.

çà ne pourrait marcher que si tu es bien plus intelligente et que tu passes à travers mon comportement.

Autre possibilité, je pourrais être plus intelligent et me dire que même si çà ne va pas chez moi, tu me souris donc je te rend la pareille. Je maintiens ainsi un état relationnel stable.

Le mieux est que l'on soit tous les 2 plus intelligents et que l'on s'adapte pour maintenir un équilibre parfait.

 

sheldaouadah04
sheldaouadah04
Posté le 11 avr. 2020

Bonjour merci encore

ah mince j'ai pas du tout fais ça!

j'ai avancé depuis hier ducoup et j'ai dis cela; En faite je fais en fonction des textes que j'ai étudié en cours 

j'ai fini

Spontanément, il semble que les échanges favorisent le bonheur car ils permettent d’acquérir des connaissances avec la transmission de savoir, mais encore , ils peuvent créer des liens ce qui amène à la création de mouvements. Toutes ces actions permette d’atteindre un état de satisfaction.

En effet le bonheur ne signifie-t-il pas pas avoir ce que je souhaite ?

En quoi , les échanges peuvent-ils amenés au bonheur ?

Par la transmission de savoir cela apporte-il des connaissances à l’être humain ?

Est-il possible d’acquérir le sentiment de bonheur malgré que celui ci soit une utopie ?

 

Cependant les échanges peuvent aussi faire l’effet contraire et donc empêcher l’individu de favoriser son bonheur, justement par le fais d’avoir envie de toujours plus, puisque le bonheur est vu par les individus comme une jouissance. Le plaisir est donc tentant à en vouloir encore et encore.

Existe-il des cas où les échanges feront l’inverse et donc rendent triste ?

Les échanges peuvent-ils entraver le sentiment de bonheur ?

Avoir des désirs répétitifs peut-il contribuer à un état d’insatisfaction ?

La surconsommation est-elle un acte néfaste pour le bonheur des individus ?

 

D’un côté effectivement les échanges favorisent le bonheur mais d’autre part il semble également que les échanges ne jouent pas un rôle positif pour que les individus obtiennent le bonheur.

 

Dans un premier temps nous verrons que les échanges favorisent le bonheur puis dans un second temps nous étudierons que les échanges empêchent l’accès au bonheur.

 

 

 

Les échanges favorisent le bonheur car ils apportent les conditions favorables pour l’atteindre

 

Malgré que le bonheur soit une utopie, il est possible de l’acquérir. Le bonheur est une sorte de quête on cherche à l’atteindre par n’importe quels moyens. L’Homme détient plusieurs buts, désirs dans un but d’obtenir une chose qui le rend heureux tel que de l’argent ou encore de la reconnaissance. Quand on réussit à atteindre notre but, on est heureux mais on fait toujours des choix pour être satisfait au maximum donc on choisit ce qui est le mieux pour nous. Le bonheur est en honneur, il est en place suprême. Donc toutes les actions de l’homme est en vu d’arriver à une fin parfaite qui est le bonheur. Comme on le voit dans le texte d’Aristote, Éthique à Nicomaque .

 

 

Par ailleurs , les échanges apportent le bonheur dans une société, car grâce à la transmission de savoir , une société peut évoluer et continuer à vie en harmonie, donc créer une harmonisation. Le plus important dans celle-ci est la communication ou même la partage. On peut évoquer le terme paix pour définir l’ensemble des individus dans la société. Hobbes le démontre dans son œuvre Léviathan , en 1651 dans lequel , il cite que les échanges déterminent la vie en société et la paix entre les individus.

 

 

 

Le bonheur apparaît par le biais d’actions qui conditionnent son apparition. Les actions choisies vont être de natures positives pour assurer au maximum son apparition. Mais des fois il ne suffit pas qu’il y ai que des bonnes actions, la chance a aussi son rôle. L’individu va avoir de l’espoir. Il met donc tout en œuvre en choisissant les bonnes actions et espérant qu’il ai de la chance pour obtenir le bonheur. C’est dans la perspective du philosophe français Jean Salem, Le Bonheur ou l’art d’être heureux par gros temps en 2006.

 

 

 

Les échanges empêchent l’accès au bonheur

 

Les échanges interviennent dans la suppression des pulsions. Les échanges en soit permette d’unir des individus entre eux c’est un phénomène qui requière une relation entre 2 individus. Il correspond à laisser quelque chose à quelqu’un en recevant une autre chose en contrepartie, cela peut être des biens, des documents ou des paroles. Mais pour cela, il faut parfois que l’Homme face des sacrifices parce que quelques de ses comportements sont incompatibles avec la société. Donc l’Homme ne met pas en pratique ses envies et ses désirs, alors il survient une part de frustration en lui ce qui n’est donc pas forcément bon. C’est ce que démontre Freud dans Le malaise dans la civilisation de 1930.

 

 

Le fait d’avoir toujours plus de désirs peut contribuer à un état d’insatisfaction. Par exemple lorsque l’Homme a un désir son but est de le réaliser. Une fois que celui-ci est réaliser l’Homme va alors avoir un autre désir, ce schéma se répète à l’identique. L’Homme va arriver à un stade où il aura toujours et encore plus de désir alors au final, il va se retrouver en manque. Le désir est une situation de manque. Plus on grandit plus on a de désirs. Les désirs peuvent être de natures différentes comme les désirs amoureux, ou les désirs d’être riche. On le remarque dans l’oeuvre de Planton Le Banquet.

 

Les échanges au milieu de la société entraîne une surconsommation et des inégalités. Dans une société, les individus consomment donc en communauté les gestes sont répétés par d’autres individus. Et la société elle-même fabrique des produits qui provoquent des désirs d’obtenir celui-ci. Donc les consommateurs en veulent toujours plus ce qui fait apparaître une surconsommation sauf que certains consommateurs n’ont pas assez de moyens pour parvenir à assouvir leurs désirs alors ils entrent dans un état de sentiment de frustration. Ce qui les empêchent d’accéder au bonheur c’est ce que démontre le philosophe français Bernard Stiegler dans De la misère symbolique de 2004.

 

 

Les échanges favorisent donc le bonheur à condition que ceux-ci apportent un aspect positif à l’individu. Les échanges qui se peuvent économique peuvent être destructeur dans les relations entre les individus dans la société. Les échanges comme le dialogue , la transmission de savoir peuvent apporter une bonne cohésion sociale dans la communauté. La communication est très importante pour avancer car quand on est en désaccord c’est un moyen très utile pour parvenir à rendre la situation plus joyeuse. En outre les échanges peuvent avoir l’effet inverse et rendre triste.

 

Abdel HAKIM
Abdel HAKIM
Posté le 11 avr. 2020

 Salut Sheldaouadah,

 

J'ai réécris ce que tu as rédigé. En effet, il est important de faire le moins de répétitions possibles. J''ai essayé de sauvegarder au maximum ce que tu as écris.

Tu peux relire et faire tous les changements que tu souhaites.

Je te laisse faire les phrases de transition et récrire la conclusion.

Essaies d'être concise. (pas trop de répétition et de phrases longues)

 

 

Spontanément, il semble que les échanges favorisent le bonheur. En effet, l’acquisition des connaissances à travers la transmission du savoir,  et encore, la création de liens menant à des mouvements sont à l’origine d’un sentiment de satisfaction.

 

D’ailleurs, le bonheur n’est-il pas d’obtenir ce que l’on souhaite ?

En quoi, les échanges peuvent-ils y mener ? Est-ce par la transmission de connaissances qui permettent à l’être humain d’évoluer? Le bonheur, bien qu’utopique, est-il accessible ?

 

En poussant la réflexion, les échanges ont aussi parfois avoir l’effet contraire et deviennent alors un frein au bonheur. Dans quels cas peuvent-ils entraver ce sentiment ?

Avoir des désirs répétitifs peut-il contribuer à un état d’insatisfaction ? La surconsommation est-elle une autre forme de cet état néfaste ?

 

D’un côté, on s’aperçoit qu’effectivement les échanges favorisent le bonheur mais d’un autre, il semble également qu’ils jouent un rôle opposé à son obtention.

Dans un premier temps nous verrons que les échanges favorisent le bonheur puis dans un second temps nous étudierons comment les échanges l’empêchent.

 

 

 

 

Les échanges favorisent le bonheur car ils apportent les conditions favorables pour l’atteindre.

 

Malgré le caractère utopique du bonheur, celui-ci est atteignable. Dans cette quête, aucun moyen n’est délaissé pour y parvenir. L’Homme ne rechigne pas à la tâche et n’est nullement avare lorsqu’il laisse libre cours à son imagination. Tout est bon pour obtenir cette chose qui le rend heureux ; l’argent, la reconnaissance ou autre. Arracher son succès est tellement délicieux, que le sentiment intense procuré le laisse caresser ce bonheur. Plus il lui correspond et plus la jouissance est multipliée. Sa place dans son cœur est alors ultime. Toutes ses actions convergent vers cette fin parfaite, le texte d’Aristote « Éthique à Nicomaque » en est une parfaite illustration.

 

Les échanges apportent le bonheur. A travers la transmission du savoir, une société peut évoluer et continuer à vivre paisiblement grâce à l’harmonisation. La communication ou même le partage y ont une place prépondérante. Le terme paix caractérise alors parfaitement  l’ensemble des concitoyens. Hobbes le démontre dans son œuvre Léviathan, en 1651 dans lequel, il cite que les échanges déterminent la vie en société et la paix entre les individus.

 

Le bonheur apparaît à l’issu de réflexion poussée suivie d’actions rondement menée. L’état d’esprit pour y parvenir est positif. Tout est fait pour y parvenir, malheureusement, cela ne suffit pas toujours. La chance reprend alors ses droits. C’est pourquoi, l’aspirant au bonheur se laisse pénétrer par l’espoir. Il met ainsi tout en œuvre en choisissant les bonnes actions mais n’oublie pas d’espérer avoir la chance suffisante qui lui donnera l’accès à ce bonheur tant convoité. On retrouve cette image dans la perspective du philosophe français Jean Salem, Le Bonheur ou l’art d’être heureux par gros temps en 2006.

 

 

Il faut une phrase de transition ici.

 

Les échanges sont des freins au bonheur.

 

Premièrement, Les échanges sont des facteurs de l’annihilation des pulsions. En effet, ils sont à l’origine du rapprochement des individus entre eux. Ce phénomène requière 2 parties, l’une laissant quelque chose à l’autre pour recevoir autre chose en contrepartie. Le transfert peut se concrétiser sous différentes formes telles que des biens, des documents voire même des paroles. Pour assurer son existence, cette interaction nécessite parfois des sacrifices. L’un des deux participants, pour concrétiser la transaction,  doit en effet se conformer à la société, et abandonner certaines de ses habitudes comportementales, jugées incompatibles par la majorité. Il n’est alors plus en accords avec ses valeurs, ses envies ou ses désirs. Naît alors, en lui, une part de frustration qui est généralement néfaste. Freud le démontre d’ailleurs dans « Le malaise dans la civilisation de 1930 ».

 

Deuxièmement, les échanges sont des catalyseurs du désir. Or ce sentiment, s’il n’est pas maîtrisé, augmente énormément et progressivement fait apparaître un sentiment. L’Homme, investi par un désir, se donne pour objectif de de le réaliser. Une fois, le résultat concrétisé, il se lance dans la quête d’un nouveau désir avec le même schéma de réalisation et cela de façon continue. Cette quête ininterrompue fait alors apparaître un manque. Si on pousse la réflexion, on pourrait même dresser un parallèle, en effet on peut dire que le désir est une des expressions du manque. Avec l’âge, les désirs grandissent et s’expriment sous différentes forme telles que le besoin d’amour ou l’envie d’obtention de richesse. L’œuvre de Planton Le Banquet en est une parfaite interprétation.

 

 Enfin, les échanges dans la société entraînent surconsommation et inégalités. Un groupe d’individu consomment dans sa communauté. Ces gestes sont observés puis répétés par d’autres, sans raison évidente. Pourtant à y regarder de plus près, un stimulus en est la cause. Il a été créé pour pousser à la consommation. Efficace, il est vecteur du désir d’obtention de ce pour quoi il a été réfléchi, un objet, un son, un voyage. Le consommateur, influencé, se languit alors de l’obtenir en grande quantité. Malheureusement, tous n’ont pas obligatoirement les moyens de leurs désirs. La frustration fait alors son entrée. Le philosophe français Bernard Stiegler le démontre dans De la misère symbolique de 2004.

 

 

 

 

Il faut une autre phrase de transition ici.

 

 

Les échanges favorisent donc le bonheur à condition que ceux-ci apportent un aspect positif à l’individu. Les échanges qui se peuvent économique peuvent être destructeur dans les relations entre les individus dans la société. Les échanges comme le dialogue , la transmission de savoir peuvent apporter une bonne cohésion sociale dans la communauté. La communication est très importante pour avancer car quand on est en désaccord c’est un moyen très utile pour parvenir à rendre la situation plus joyeuse. En outre les échanges peuvent avoir l’effet inverse et rendre triste.

 

 

 


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