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Sujet du devoir
bonjour, j'ai une question qui faut argumenter en une page au moins ...montrer que la croissance et le développement entraînent le changement sociale et que le changement sociale entretient (est favorable à ) la croissance et au développement.
tou d'abord , il y a le declin des groupes sociaux et l'aparition des ouvriers qui est du changement sociale ....
mai pouvez vous me donner des arguments autres que ceci .....
svp
Où j'en suis dans mon devoir
svpaide zmoi
j'en ai bien besoin
.svp ...
8 commentaires pour ce devoir
on peut dire que l'individualisme (qui est un changement sociale) est favorable à la croissance et au developpement.
le changement de valeurs aussi .....
mais pour l'inverse qu'est ce qu'on peur dire ...
le changement de valeurs aussi .....
mais pour l'inverse qu'est ce qu'on peur dire ...
II.2. Le changement social a-t-il un sens ?
On a vu jusqu’à maintenant que l’on pouvait lier croissance et développement et que l’on pouvait définir
ce dernier suivant des critères spécifiquement humains. En fait, ce qu’on appelle le développement
n’est pas autre chose que le changement social : en effet, parler de développement revient à décrire les
transformations profondes, structurelles (transformations qui affectent une société sur le long terme et
profondément) qu’a connues une société c’est-à-dire ce qu’on nomme en sociologie le changement social.
Donc, l’utilisation de deux mots distincts vient avant tout du fait que, lorsque l’on parlera de développement
on s’intéressera surtout aux côtés économiques, alors que quand on parlera de changement social,
on évoquera avant tout les relations sociales.
Les transformations des comportements, normes, valeurs, (voir définitions dans le lexique) qui sont
liées à la croissance économique sont très singulières et inouïes : en particulier, on peut mettre en évidence
le développement de l’individualisme (au sens sociologique du terme, c’est-à-dire compris comme le
résultat de processus qui ont permis le relâchement, voire la disparition, de tutelles qui déterminaient
les choix et les modes de vie des individus : parenté, religion, communauté diverse, classe, etc..) et d’une
certaine rationalisation de toutes les activités humaines. Ces deux phénomènes débouchant sur une des
caractéristiques essentielles du monde occidental d’après Max Weber : « le désenchantement du monde
». Ainsi, plus aucune éthique ne semble pouvoir rationnellement être possible dans la mesure où tous les
objets que l’on peut fixer à l’action humaine apparaissent comme relatifs. De manière plus cruciale que
jamais se pose la question du vivre ensemble, du vivre en commun : comment, en effet, coordonner les actions
d’individus individualistes et rationnels qui recherchent uniquement leur propre intérêt. Certains
penseurs ne trouvent pas que cette question soit problématique, pour eux les êtres humains sont naturellement
sociables : il suffit de les mettre en présence pour qu’ils créent une société (on peut trouver un
exemple d’une telle approche dans « la main invisible » d’Adam Smith qui fait spontanément émerger un
ordre collectif, social, qui n’était voulu par personne en tant que tel et qui donc ne peut jamais être présenté
comme injuste ou arbitraire. D’autres pensent au contraire que sans éthique fondée sur des valeurs
collectives, le lien social pourrait finir par se défaire (pour déboucher sur une situation que Durkheim appelle
anomique). Alors que pour d’autres encore, ce qui apparaît à l’individu comme son intérêt personnel
est une manière purement technique et efficace de diriger son action, de le manipuler en quelque sorte,
et de le dominer. Selon qu’on l’on partage l’une ou l’autre de ces visions on voit que l’on peut soit craindre,
soit se réjouir, ou à la limite être indifférent, au changement social. Il est bien entendu hors de question
d’esquisser une quelconque solution dans notre cours, cependant, nous essaierons de donner quelques
éléments de réflexion en la matière.
On a vu jusqu’à maintenant que l’on pouvait lier croissance et développement et que l’on pouvait définir
ce dernier suivant des critères spécifiquement humains. En fait, ce qu’on appelle le développement
n’est pas autre chose que le changement social : en effet, parler de développement revient à décrire les
transformations profondes, structurelles (transformations qui affectent une société sur le long terme et
profondément) qu’a connues une société c’est-à-dire ce qu’on nomme en sociologie le changement social.
Donc, l’utilisation de deux mots distincts vient avant tout du fait que, lorsque l’on parlera de développement
on s’intéressera surtout aux côtés économiques, alors que quand on parlera de changement social,
on évoquera avant tout les relations sociales.
Les transformations des comportements, normes, valeurs, (voir définitions dans le lexique) qui sont
liées à la croissance économique sont très singulières et inouïes : en particulier, on peut mettre en évidence
le développement de l’individualisme (au sens sociologique du terme, c’est-à-dire compris comme le
résultat de processus qui ont permis le relâchement, voire la disparition, de tutelles qui déterminaient
les choix et les modes de vie des individus : parenté, religion, communauté diverse, classe, etc..) et d’une
certaine rationalisation de toutes les activités humaines. Ces deux phénomènes débouchant sur une des
caractéristiques essentielles du monde occidental d’après Max Weber : « le désenchantement du monde
». Ainsi, plus aucune éthique ne semble pouvoir rationnellement être possible dans la mesure où tous les
objets que l’on peut fixer à l’action humaine apparaissent comme relatifs. De manière plus cruciale que
jamais se pose la question du vivre ensemble, du vivre en commun : comment, en effet, coordonner les actions
d’individus individualistes et rationnels qui recherchent uniquement leur propre intérêt. Certains
penseurs ne trouvent pas que cette question soit problématique, pour eux les êtres humains sont naturellement
sociables : il suffit de les mettre en présence pour qu’ils créent une société (on peut trouver un
exemple d’une telle approche dans « la main invisible » d’Adam Smith qui fait spontanément émerger un
ordre collectif, social, qui n’était voulu par personne en tant que tel et qui donc ne peut jamais être présenté
comme injuste ou arbitraire. D’autres pensent au contraire que sans éthique fondée sur des valeurs
collectives, le lien social pourrait finir par se défaire (pour déboucher sur une situation que Durkheim appelle
anomique). Alors que pour d’autres encore, ce qui apparaît à l’individu comme son intérêt personnel
est une manière purement technique et efficace de diriger son action, de le manipuler en quelque sorte,
et de le dominer. Selon qu’on l’on partage l’une ou l’autre de ces visions on voit que l’on peut soit craindre,
soit se réjouir, ou à la limite être indifférent, au changement social. Il est bien entendu hors de question
d’esquisser une quelconque solution dans notre cours, cependant, nous essaierons de donner quelques
éléments de réflexion en la matière.
ok mais il y a des mots trop compliqués ,
pouvez vous me donner en plus synthetique la reponse à ces deux questions svp...............................
pouvez vous me donner en plus synthetique la reponse à ces deux questions svp...............................
tout d'abord pour argumenter une phrase il faut détailler chaque mot de la question et rechercher beaucoups de textes concernant le sujet. lorsque vous l'avez trouvez vous lisez et et choissisez les parties les plus importantes.
oui mais ici, il ya trop de choses et moi je ne sais pas trop quoi mettre
aidez moi
aidez moi
l’on parlera de développement
on s’intéressera surtout aux côtés économiques, alors que quand on parlera de changement social,
on évoquera avant tout les relations sociales.
Le changement social est une transformation durable qui affecte la société dans son fonctionnement, dans sa structure et dans le domaine culturel. Ce sont les sociologues qui utilisent principalement ce terme à l'instar des économistes qui lui préfère celui de "développement". Le développement, c'est le changement social qui accompagne la croissance économique et lui permet de durer.
on s’intéressera surtout aux côtés économiques, alors que quand on parlera de changement social,
on évoquera avant tout les relations sociales.
Le changement social est une transformation durable qui affecte la société dans son fonctionnement, dans sa structure et dans le domaine culturel. Ce sont les sociologues qui utilisent principalement ce terme à l'instar des économistes qui lui préfère celui de "développement". Le développement, c'est le changement social qui accompagne la croissance économique et lui permet de durer.
ok mais cela ne repond pas pk la croissance et le developpement contribuent à un changement sociale et inversement.....
Ils ont besoin d'aide !
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regarde ce document peut être très utile pour répondre
http://webetab.ac-bordeaux.fr/Etablissement/SudMedoc/ses/1999/intro99.htm