commentaire compose l'asssommoir

Publié le 5 oct. 2018 il y a 5A par Anonyme - Fin › 12 oct. 2018 dans 5A
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Sujet du devoir

Bonjour , pouvez vous me dire si c'est bon et me finir la 2 eme partie .

Intro: Le texte étudié est un extrait de "L'Assommoir" écrit en 1877 par Emile Zola, célèbre écrivain naturaliste. Cet ouvrage est entièrement consacrée au monde ouvrier. Cette partie du chapitre 6 narre l'histoire de 2 hommes, Goujet (dit gueule d'or) et Bec-Salé, ayant pour but de courtiser une femme nommée Gervaise. Tous deux décidèrent de se défier dans une épreuve d'agilité. A l'aide de leur marteau, chaque homme doit façonner une tête de boulon en un nombre maximum de 30 coups.
 Nous pouvons nous demander de quelle façon, l'ouvrier au travail est-il par la suite élevé au rang de personnage mythique.
 Nous remarquerons que l'ouvrier est au travail, puis qu'il sera élevé au rang de personnage épique. 

I/ Gueule d'or un artisan

A. le défi amoureux 

B. La beauté du geste 

II/La technique 

A. Sérénité

B . L'aspect physique 

 et je voudrais savoir dans quelle partie je peux mettre ces éléments :a gestuelle: très importante "il avait le eju classique, balncé, souple..."
-le rythme: l'ouvrier compte.
-emploi vocabulaire musical:"menuet,..."
-les liens entre goujet et son outil= ils snt comme un couple: objet personnifié et transformé en femme...
-la lumière valorise l'ouvrier :"barbe jaune s'allumait, il faisait de la clarté autour de lui"
-comparaison des parties du corps de l'ouvrier:"cou pareil à une colonne..."
-méthaphore: "des épaules et des bras sculptés" "des montagnes de chair"
-langage ouvrier: permet de rappeler le milieu ouvrier
-éloge physique de goujet: force surhumaine, taille de géant, beauté(colonne), un personnage lumineux
-éloge du geste:métaphore filée de la danse 

et les deux transitions apres chaque partie et la conclusion 

Merci de me dire les choses manquantes svp urgent 

 




3 commentaires pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 6 oct. 2018

  C’était le tour de la Gueule-d’Or. Avant de commencer, il jeta à la blanchisseuse un regard plein de tendresse confiante. Puis, il ne se pressa pas, il prit sa distance, lança le marteau de haut, à grandes volées régulières. Il avait le jeu classique, correct, balancé et souple. Fifine, dans ses deux mains, ne dansait pas un chahut de bastringue, les guibolles emportées par-dessus les jupes ; elle s’enlevait, retombait en cadence, comme une dame noble, l’air sérieux, conduisant quelque menuet ancien. Les talons de Fifine tapaient la mesure, gravement ; et ils s’enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon, avec une science réfléchie, d’abord écrasant le métal au milieu, puis le modelant par une série de coups d’une précision rythmée. Bien sûr, ce n’était pas de l’eau-de-vie que la Gueule-d’Or avait dans les veines, c’était du sang, du sang pur, qui battait puissamment jusque dans son marteau, et qui réglait la besogne. Un homme magnifique au travail, ce gaillard-là ! Il recevait en plein la grande flamme de la forge. Ses cheveux courts, frisant sur son front bas, sa belle barbe jaune, aux anneaux tombants, s’allumaient, lui éclairaient toute la figure de leurs fils d’or, une vraie figure d’or, sans mentir. Avec ça, un cou pareil à une colonne, blanc comme un cou d’enfant ; une poitrine vaste, large à y coucher une femme en travers ; des épaules et des bras sculptés qui paraissaient copiés sur ceux d’un géant, dans un musée. Quand il prenait son élan, on voyait ses muscles se gonfler, des montagnes de chair roulant et durcissant sous la peau ; ses épaules, sa poitrine, son cou enflaient ; il faisait de la clarté autour de lui, il devenait beau, tout-puissant, comme un bon Dieu. Vingt fois déjà, il avait abattu Fifine, les yeux sur le fer, respirant à chaque coup, ayant seulement à ses tempes deux grosses gouttes de sueur qui coulaient. Il comptait : vint-et-un, vingt-deux, vingt-trois. Fifine continuait tranquillement ses révérences de grande dame.

I. Emile Zola - L'assommoir

I. La beauté du geste :

Action

Précision

Concentration

II. La beauté de l'homme

Le physique

la force

La séduction

III. La beauté de la scène

- Le regard de Gervaise

- L' art de Zola

- Un personnage mis en lumière

niogret2m
niogret2m
Posté le 6 oct. 2018

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Anonyme
Anonyme
Posté le 6 oct. 2018

Merci mais vs pourriez me mettre les grands I et II et A 1) B 2) et pour la conclusion et les transitions comment fais-je ? svp

 

 


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