Gobseck ?

Publié le 23 sept. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 26 sept. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Gobseck
Devoir Français - Exercice - 2nde



Bonjour tout le monde !
Je dois rendre rendre un devoir de francais pour vendredi (je suis en seconde et mon prof est très sévère) !



1) Précisez en 2 ou 3 phrases le thème de cet extrait.

2) Qui parle, déffinissez précisement qui ets le narrateur.


Pour la 1ère question, j'ai pensé répondre : c'est une description de l'usurier (je résume)

Pour la 2ème question, j'ai pensé répindre l'avocat Derville.

Pour la suite, je n'ai pas eu trop de problème !!

Avant de bien argumenté ces réponses, j'aimerais savoir si je suis sur la bonne voie ? Est ce que juste ?

Merci de bien vouloir prendre le temsp de me répondre



Pour la 1ère question, j'ai pensé répondre : c'est une description de l'usurier (je résume)

Pour la 2ème question, j'ai pensé répindre l'avocat Derville. uis :















Voila le texte


Les cheveux de mon usurier étaient plats, soigneusement peignés et d’un gris cendré. Les traits de son visage, impassible autant que celui de Talleyrand, paraissaient avoir été coulés en bronze. Jaunes comme ceux d’une fouine, ses petits yeux n’avaient presque point de cils et craignaient la lumière ; mais l’abat-jour d’une vieille casquette les en garantissait. Son nez pointu était si grêlé dans le bout que vous l’eussiez comparé à une vrille. Il avait les lèvres minces de ces alchimistes et de ces petits vieillards peints par Rembrandt ou par Metzu. Cet homme parlait bas, d’un ton doux, et ne s’emportait jamais. Son âge était un problème : on ne pouvait pas savoir s’il était vieux avant le temps, ou s’il avait ménagé sa jeunesse afin qu’elle lui servît toujours. Tout était propre [ 390 ] et râpé dans sa chambre, pareille, depuis le drap vert du bureau jusqu’au tapis du lit, au froid sanctuaire de ces vieilles filles qui passent la journée à frotter leurs meubles. En hiver les tisons de son foyer, toujours enterrés dans un talus de cendres, y fumaient sans flamber. Ses actions, depuis l’heure de son lever jusqu’à ses accès de toux le soir, étaient soumises à la régularité d’une pendule. C’était en quelque sorte un homme-modèle que le sommeil remontait. Si vous touchez un cloporte cheminant sur un papier, il s’arrête et fait le mort ; de même, cet homme s’interrompait au milieu de son discours et se taisait au passage d’une voiture, afin de ne pas forcer sa voix. A l’imitation de Fontenelle, il économisait le mouvement vital, et concentrait tous les sentiments humains dans le moi. Aussi sa vie s’écoulait-elle sans faire plus de bruit que le sable d’une horloge antique. Quelquefois ses victimes criaient beaucoup, s’emportaient ; puis après il se faisait un grand silence, comme dans une cuisine où l’on égorge un canard. Vers le soir l’homme-billet se changeait en un homme ordinaire, et ses métaux se métamorphosaient en cœur humain. S’il était content de sa journée, il se frottait les mains en laissant échapper par les rides crevassées de son visage une fumée de gaieté, car il est impossible d’exprimer autrement le jeu muet de ses muscles, où se peignait une sensation comparable au rire à vide de Bas-de-Cuir. Enfin, dans ses plus grands accès de joie, sa conversation restait monosyllabique, et sa contenance était toujours négative. Tel est le voisin que le hasard m’avait donné dans la maison que j’habitais rue des Grès, quand je n’étais encore que second clerc et que j’achevais ma troisième année de Droit.



Où j'en suis dans mon devoir

Pour la 1ère question, j'ai pensé répondre : c'est une description de l'usurier (je résume)

Pour la 2ème question, j'ai pensé répindre l'avocat Derville.



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