Poesie : Victor Hugo

Publié le 16 nov. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 19 nov. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonsoir, d'après le texte suivant , je dois répondre a des questions que je en comprend pas :
1. Dans la troisième strophe, relevez 2 GN caractérisant le pronom personnel "nous" (vers. 11).

2.Quel est le sens du mot "deuil" (vers. 9) ?

3.Relevez toutes les expression déictiques par lesquelles l'énonciataire est désigné. Relevez 2 expressions du texte qui le rendent facilement identifiable.

Où j'en suis dans mon devoir

Voici le texte :
Je verrai cet instant jusqu'à ce que je meure,
L'instant, pleurs superflus !
Où je criai : L'enfant que j'avais tout à l'heure,
Quoi donc ! je ne l'ai plus !

Ne vous irritez pas que je sois de la sorte,
Ô mon Dieu ! cette plaie a si longtemps saigné !
L'angoisse dans mon âme est toujours la plus forte,
Et mon cœur est soumis, mais n'est pas résigné.

Ne vous irritez pas ! fronts que le deuil réclame,
Mortels sujets aux pleurs,
Il nous est malaisé de retirer notre âme
De ces grandes douleurs.

Voyez-vous, nos enfants nous sont bien nécessaires,
Seigneur ; quand on a vu dans sa vie, un matin,
Au milieu des ennuis, des peines, des misères,
Et de l'ombre que fait sur nous notre destin,

Apparaître un enfant, tête chère et sacrée,
Petit être joyeux,
Si beau, qu'on a cru voir s'ouvrir à son entrée
Une porte des cieux ;

Quand on a vu, seize ans, de cet autre soi-même
Croître la grâce aimable et la douce raison,
Lorsqu'on a reconnu que cet enfant qu'on aime
Fait le jour dans notre âme et dans notre maison,

Que c'est la seule joie ici-bas qui persiste
De tout ce qu'on rêva,
Considérez que c'est une chose bien triste
De le voir qui s'en va !



6 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 17 nov. 2010
fronts que le deuil réclame, (le nôtre)
Mortels sujets aux pleurs ( nous)
Bonne soirée.
willffy
willffy
Posté le 17 nov. 2010
le deuil = la mort des autres
willffy
willffy
Posté le 17 nov. 2010
nos enfants nous sont bien nécessaires,

quand on a vu dans sa vie, un matin,
.....
Apparaître un enfant, tête chère et sacrée,




Il s'agit du père de l'enfant (la file de Victor Hugo est morte noyée avec son mari)
Quand on a vu, seize ans, de cet autre soi-même
willffy
willffy
Posté le 17 nov. 2010
Quand on a vu, seize ans, de cet autre soi-même

Ce vers aussi en fait partie, il ne s'est pas inscrit (erreur de ma part)
Anonyme
Posté le 17 nov. 2010
Merci a toi Gamy
Anonyme
Posté le 17 nov. 2010
Ces quelques vers évoquent-ils une joie possible ? Merci :)

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